D’un instant tout possible remué, le poème gravit ses ruines et le ciel reprend besogne à héberger l’opaque. Hypallages, paronomases, synchises ou hyperboles : à l’œil du lecteur de poésie averti, les nombreuses figures de style qui habitent le recueil Atelier du silence de Jean d’Amérique n’échapperont pas. Le préfacier de cet ouvrage, Jacques Vandenschrick, recommande pourtant : « Que chacun entame, loin des pédanteries théoriques, sa lecture buissonnière, libre et empathique quels que soient les apparents cahots de la sente. » Qu’à cela ne tienne, arpentons donc l’atelier du silence du poète.Poésie-végétal, « pensée-forêt », devenir-mousse, Atelier du silence de…
Ce receuil apparaît comme une sorte de testament poétique. Un espoir l'emporte sur…
Un ensemble de sonatines aigres, douces, amères, ordinaires, pour apprenti raisonnablement…