Evelyne Guzy

PRÉSENTATION
Evelyne Guzy vit à Bruxelles. Après des études de journalisme et une agrégation – complétées plus tard par une formation à la recherche –, elle consacre l’essentiel de sa carrière à l’écriture et à la communication : auteur de brochures d’information sur des thèmes d’intérêt citoyen, éditrice, ghost writer à l’occasion, coach dans ses deux spécialités.  Elle a notamment dirigé l’essai Attentats-suicides. Le cas israélo-palestinien (Préface de Pierre Mertens – Luc Pire, 2004). Dans le domaine de la fiction, elle a publié une histoire urbaine, Bruxelles-les-Eaux (Maelström, 2010), un recueil de nouvelles, Belgiques. Ce qui reste quand on a tout oublié… (Ker éditions, 2023) et trois romans : Dans le sang (Bernard Gilson Éditeur, 2009), Le martyr de l’Etoile (Luc Pire, 2012) et La Malédiction des Mots (M.E.O., 2021). Evelyne Guzy a aussi contribué à des ouvrages collectifs et a assuré une chronique consacrée aux écrivains belges sur la radio bruxelloise BXFM 104.3. Elle collabore à la revue littéraire Marginales et a figuré dans l’avant-dernière sélection du prix Victor Rossel de littérature 2021 pour La Malédiction des Mots.

BIBLIOGRAPHIE


NOS EXPERTS EN PARLENT
Le Carnet et les Instants

Pour Évelyne Guzy, baptiser « roman » une enquête sur sa propre famille juive, c’est aussi un devoir d’honnêteté et la façon de donner à la journaliste et chroniqueuse la liberté de fondre, à 60 ans, la réalité d’Évelyne dans ses propres pas : ceux de la petite Eva, au fil d’une recherche marquée par la rigueur et par un acharnement courant sur de nombreuses années. Au départ : il y aurait une lettre posthume du grand-père Icek, imprégnée formellement de culture yiddish et qui précise : « Bien sûr, je me doute bien qu’à la première relecture, tu revisiteras mes mots pour les remplacer par les tiens ; c’est ta manie, ton métier. Je vais m’en accommoder ».Icek lui-même dit se considérer comme un « homme terne » et dont la seule particularité…