Un roman. Avec tout ce qu’il faut d’ingrédients d’avant l’ère du soupçon et la mort de l’auteur, d’avant le nouveau roman, la modernité, la postmodernité : le retrait du monde, une passion amoureuse interdite, une rivalité où l’être aimé est joué aux dés, une disparition et peut-être un assassinat – et même un duel ; un récit dans le récit – des carnets scellés divulgués. Et l’illusion du réel. Autant le dire, quand on commence la lecture du Vitrail en flammes, livre quasi oublié (publié une première fois en 1930) d’un auteur disparu des rayons des librairies (Alex Pasquier, 1888-1963) on plonge – avec plaisir – en plein texte old school. En belle écriture.Le roman s’ouvre par le tintement des cloches d’une abbaye, « – cloches ! – jetez…