Une comédie musicale en deux parties de Michel ROBERT pour le livret et les paroles des chansons de Marc KEISER pour la musique originale et Pascal HERINGER comme coordinateur musical et artistique.
20 tableaux – 22 chansons
Une scénographie et mise en scène de Pascal HERINGER et de l’auteur.
La troupe : 40 acteurs, actrices, corps de ballet en costumes du 17ème siècle.
L’ensemble accompagné par un orchestre de 4 musiciens.
En mai 1624, les premiers pionniers wallons arrivent à bord du Niew Nederlandt près de l’île des Manhattes (Manhattan). Sur cette embarcation, Catherine TRICOT, originaire de Pry-lez-Walcourt, va jouer un rôle primordial dans la reconnaissance des wallons à New-York. Elle aura une nombreuse descendance et est toujours considérée comme la mère de tous les New-Yorkais.
Pierre MINUIT, originaire de la région de Tournai, achète l’île aux Indiens pour une somme dérisoire de 60 florins.
Juillet 2010, la découverte d’une épave d’une goélette dans les fondations de Ground Zero est source d’inspiration.
Prélude et première partie
Catherine TRICOT est une descendante de la Mère de tous les New-Yorkais.
Elle et son mari Georges TAVERNIER emmènent un groupe d’une dizaine de touristes visiter la célèbre « pomme » ! Suite à la découverte d’une épave dans les fondations du Ground Zero, elle extrapole sur l’histoire de son aïeule … (c’est le personnage principal). Elle embarque le groupe dans une folle aventure EXTRA-TEMPORELLE, qui fera revivre la fuite de ces Wallons protestants, pourchassés par les catholiques et l’Inquisition rétablie. Le voyage périlleux des Huguenots les emmène sur les quais d’Amsterdam où ils embarqueront sur la goélette « Niew Nederlandt ».
Deuxième partie
L’embarquement et la vie sur le bateau jusqu’à l’arrivée au nouveau monde.
De la belle histoire, de l’émotion, mais aussi du rire et des chansons.
© Paroles, chansons, livret et musique tous droits réservés SABAM
© Spectacle tous droits réservés Èl Môjo dès Walons
À partir de 1615, les territoires compris entre la Virginie et la Nouvelle-Angleterre vont porter indifféremment le nom de Nouvelle-Belgique (Novum Belgium, Novo Belgio, Nova Belgica, Novi Belgii) ou de Nouveaux-Pays-Bas.
On peut se demander pourquoi les circonstances réelles entourant la naissance de New-York sont, aujourd’hui encore, pratiquement ignorées dans la Belgique actuelle.
Les manuels scolaires et livres d’histoire sont muets à ce sujet.
Cet oubli peut s’expliquer de différentes façons. En voici une qui paraît plausible : les fondateurs de New-York étant des Wallons et des Flamands protestants, la Belgique étant catholique et l’enseignement ayant très longtemps été influencé par l’Église, on peut supposer que celle-ci ait volontairement occulté cette période de notre histoire.