Résultats de recherche pour “Truus” 1891 à 1920 (2249)
Objectifplumes.be la nouvelle adresse du livre belge francophone
La toute proche Foire du livre de Bruxelles accueillera un événement singulier : le lancement du portail…
Notre D(r)ame (d’après Victor Hugo)
Metteur en scène, acteur, dramaturge, auteur d’une œuvre théâtrale importante et singulière ( Le roi lune, Le chevalier…
Les AML récoltent les archives de quarantaine des écrivains
La crise sanitaire du Covid-19 a poussé la Belgique à un confinement de plusieurs semaines. L’opération « Archives…
La littérature aux marges (2) Neel Doff, la postérité douloureuse
Pour ce deuxième épisode de notre série d’articles consacrés aux autrices marginales 1 ,…
La littérature aux marges (2) Neel Doff, la postérité douloureuse
Pour ce deuxième épisode de notre série d’articles consacrés aux autrices marginales 1 ,…
La littérature aux marges (2) Neel Doff, la postérité douloureuse
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Kom.post : – la lecture numérique en débat – Entretien avec Camille Louis
Depuis sa création à Berlin en 2009, le collectif kom.post regroupe…
La littérature aux marges (2) Neel Doff, la postérité douloureuse
Pour ce deuxième épisode de notre série d’articles consacrés aux autrices marginales 1 ,…
Les bibliothèques se préparent à la ré-ouverture
Une ré-ouverture qui sera très progressive. À partir du 11 mai, il sera possible d’emprunter des livres mais pas de lire sur place.…
La littérature aux marges : Neel Doff, la postérité douloureuse
Pour ce deuxième épisode de notre série d’articles consacrés aux autrices marginales 1 , focus…
L’invention d’Adélaïde Fouchon
Deux Adélaïde se racontent. Il y a d’abord la petite fille, du genre « garçon manqué », skateboard sous le bras, qui pourtant rêverait…
Poèmes de pluie. Une proposition de Mélanie Godin
Il est un cliché tenace, pourtant exact, à propos de la Belgique : il y pleut constamment. Mélanie Godin et son équipe en auront…
Depuis un mois, Karoo propose un focus sur la poésie belge. Découvrez aujourd’hui, l’entretien de Caroline Lamarche pour son poème Le festin des morts illustré par Aurélie William Levaux et…
Auteurs en classe se réinvente en confinement
En ces temps de pandémie, alors que l’accès aux écoles est strictement limité, l’enseignement est soumis à rude épreuve. Les profs réinventent…
Abstraction and Comics. Bande dessinée et abstraction
Qu’en est-il de la bande dessinée dite abstraite ? Quels sont ses ressorts historiques, sémiotiques ou formalistes ? Le très beau coffret de deux volumes, Bande dessinée et abstraction, rassemble des contributions et des créations originales qui explorent la grande variété de l’abstraction en bandes dessinées. L’abstraction doit-elle être comprise dans le sens qu’elle a pris dans l’histoire de l’art, en peinture ? Peut-on dire qu’elle définit un tournant moderniste touchant les arts visuels alors que, ab initio , depuis l’origine de l’art, la tendance à l’abstraction est présente ? Les opérateurs identifiant une BD expérimentant l’abstraction varient en fonction des théoriciens : là où Ibn Al Rabin nomme abstraction le non-figuratif, Andreï Molotiu la resserre autour de l’éviction de la narration. Les créations du collectif WREK avec l’artiste-graveur Olivier Deprez, celles de Pascal Leyder, Frank Vega, Berliac, Francie Shaw, Ilan Manouach et bien d’autres jouent la carte de la tension, du dialogue non mimétique avec les textes. L’irruption de quelques planches abstraites dans une BD ou la construction d’œuvres graphiques entièrement soutenues par l’abstraction modifient le « régime scopique du spectateur » (Jacques Dürrenmatt). Si le terme de bande dessinée abstraite se répand dans les années 2000, auparavant, bien des artistes ont construit des œuvres reposant sur des images non figuratives, par exemple géométriques, ou invalidant le dispositif narratif. Au travers des contributions de Jan Baetens, Jean-Charles Andrieu de Levis, Kakob F. Dittmar, Paul Fisher Davies, Jean-Louis Tilleuil, Denis Mellier et d’autres, il appert qu’il n’y a pas une abstraction mais des abstractions. Certains créateurs maintiennent une visée diégétique, un récit tandis que d’autres l’évacuent. De même, certains recourent à la figuration, d’autres la subvertissent. Purification d’une forme qui sonde la seule dimension graphique, le voir, sans plus se diluer dans le raconter, attention exclusive aux qualités plastiques des images, veine underground, autonomiste refusant les codifications et les dogmes de la BD, les circuits de production et de réception, exploration libre, mutante des ressources du médium, interrogation sur la fabrique des images, contestation de l’auctorialité… la bande dessinée abstraite expérimente bien des formes qui secouent l’horizon d’attente de lecteurs habitués à la lisibilité d’un récit (personnages, actions, péripéties, contexte spatio-temporel…), une lisibilité poussée à ses extrémités avec la ligne claire. Les titres, les textes accompagnant les images restaurent parfois une trame narrative, orientant la réception des lecteurs.Choisir l’abstraction, c’est aussi s’abstraire des comics, accomplir « un geste de rupture qui cherche à s’abstraire plus ou moins radicalement de l’hégémonie du récit » (Denis Mellier), opter pour l’a-narrativité, s’affranchir de la « tutelle du récit » ou/et rompre avec le champ du figuratif. Qu’elles contestent l’impératif narratif, la représentation figurative ou les deux, les expressions multiples de la bande dessinée abstraite déterritorialisent la sphère du neuvième art, y traçant des lignes de fuite, des dispositifs qui déstratifient le genre. Autrement dit, elles illimitent les possibilités du médium, jouant de tous les registres de la narrativité minimale, de la visée de son degré zéro ou de la métanarrativité comme de ceux du figuratif.« Ses tendances [de la BD] à l’abstraction sont peut-être constitutives de son discours graphique…
Rapide tour de la toile, incomplet et subjectif, des lieux où la lecture se poursuit #autempsduconfinement. Lisons malin, lisons dématérialisé. Rapide tour de la toile, incomplet et subjectif, des…
Les conséquences des mesures de confinement sur le marché du livre belge
Lettres Numériques s’est entretenu avec Benoît Dubois, administrateur de l’…
La Foire du Livre de Bruxelles Souvenirs d’une inauguration
Se souvenir de la Foire du Livre de Bruxelles nous fait revivre une soirée presque surréaliste à l’heure…
Brassens et Tintin. Deux mondes parallèles
Quoi de plus dissemblable, si ce n’est incompatible a priori, que les univers de Georges Remi, alias Hergé, et de Georges…
Amaryllis, une jeune femme de presque seize ans, vit avec sa mère (Gersande) depuis dix ans dans le domaine d’Esver, « cette prison qu’elle aimait détester » et d’où elle n’est jamais sortie.…
Ce n’est nul autre que le destin qui a choisi de nous livrer, glanées au hasard parmi d’innombrables dossiers, l’histoire de Josiane, de René, de…
Alexandria : les pionniers du web
C’est énoncer un lieu commun que de dire que les technologies évoluent vite, imposent en quelques années leur usage comme une évidence…
L’autoédition, – un vivier pour les éditeurs ? – Entretien avec Laure Prételat
Difficile de passer…
Antonin a la poisse… Ou peut-être de la chance dans son malheur… À moins que ce ne soit l’inverse… Disons que son quotidien est fait de hauts et de bas qui se succèdent à une cadence…
Interview de l’été – Nicolas Guiot
Natif de Charleroi, Nicolas Guiot a fait ses études dans la filière ELICIT à l'Université libre de Bruxelles. Parallèlement à sa collaboration au magazine…
Dans La Wallonie, le pays et les hommes , section Lettres – Arts – Culture, t. II, Marcel Thiry a rédigé plusieurs articles très intéressants sur divers…
Baptiste Frankinet nouveau membre titulaire de la SLLW
(Réponse du Récipiendaire : Eloge de Jean Brumioul) Monsieur le Président, chères…
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