La Vie compliquée de Léa Olivier (tome 1) : Perdue

À PROPOS DES AUTEURS
Alcante (Didier Swysen)

Auteur de La Vie compliquée de Léa Olivier (tome 1) : Perdue

De son vrai nom Didier Swysen, Alcante est né le 21/11/1970 à Uccle (Bruxelles). Très jeune, il est plongé dans la marmite de la bande dessinée : ses parents étaient abonnés à Spirou, et c'est notamment à travers les premières aventures du petit égyptien Papyrus (de Lucien De Gieter), que Didier apprend à lire. Pendant ses humanités à Louvain-la-Neuve, il rencontre, au Lycée Martin V, un professeur de français, du nom de Kira Rahir, qui développe son envie d'écrire. Il se tourne cependant tout d'abord vers des études en sciences économiques. Après ses cinq années (licence et maîtrise) à l'Université catholique de Louvain-la-Neuve (réussies avec grande distinction), il est engagé comme chercheur à l'Université d'Anvers pendant quatre ans, avant de travailler plusieurs années dans une grande entreprise publique. Parallèlement, il débute lentement mais sûrement en tant que scénariste. En 1995, il remporte un concours de scénario supervisé par Raoul Cauvin et il voit ainsi sa première planche publiée dans l'hebdomadaire Spirou. Il participe alors au site BDAmateur.com, sur lequel il s'exerce sur des scénarios courts et multiplie les collaborations, notamment avec SwaN. À partir de 2002, ses histoires courtes sont régulièrement publiées dans Spirou. Il adopte alors le pseudonyme d'Alcante, composé des premières syllabes des prénoms de ses enfants : Alexandre et Quentin. Pour Dupuis, il écrit alors Pandora Box, une série de huit albums transposant de grands mythes grecs dans l'actualité contemporaine. Cette série « multi-dessinateurs » paraît à partir de janvier 2005. Elle rencontre un beau succès, qui lui permet d'être remarqué par son idole, le célèbre scénariste Jean Van Hamme. À sa demande, il écrit alors un album dérivé de la série culte XIII, Colonel Amos, illustré par François Boucq. La collaboration avec Jean Van Hamme se poursuit également sur « Rani », une série historique se déroulant en Inde au 18ème siècle. Devenu « scénariste à temps plein » en septembre 2008, il écrit de nombreux autres scénarios, dans différents registres : le thriller (Jason Brice, Interpol,…), l’anticipation (Re-Mind), le drame (Quelques jours Ensemble), l’aventure historique (La fin des Templiers), … En 2014, il entame une collaboration avec les éditions Kennes, et adapte pour celles-ci deux séries de romans très populaires au Québec : La vie compliquée de Léa Olivier (de Catherine Girard-Audet), et Bine / L’incroyable histoire de Benoit-Olivier (de Daniel Brouillette). Alcante reconnaît avoir été marqué par les Contes et Légendes de tous pays, qu'il a dévorés étant enfant, ainsi que par quelques grands scénaristes, comme Cothias, Makyo, Jean Van Hamme ou Alan Moore. Outre la bande dessinée, ses centres d'intérêt sont le cinéma, les séries télé, les jeux de rôle, le sport, les voyages, l’Histoire et la politique. Il vit actuellement à Bruxelles avec son épouse et ses deux enfants.
Ludowick (Ludo) Borecki

Illustrateur de La Vie compliquée de Léa Olivier (tome 1) : Perdue

Né en 1973 à Mons, Ludowick Borecki suit des cours d’illustration-BD à l’Ecole supérieure des arts Saint-Luc avant d’entrer au Studio Peyo à l’âge de vingt ans. Après avoir collaboré au magazine Schtroumpf et dessiné plusieurs albums de la série des Schtroumpfs (n°s 21 à 24), il reprend en 2007 le dessin de Robin Dubois avec Miguel Dìaz Vizoso sur un scénario de Bob de Groot (Le Lombard). En 2012, avec Clarke, il publie le diptyque Les Amazones (Glénat) et, en 2013, il signe, avec Benoît Ers, le dessin des deux volumes de Tueurs de mamans scénarisés par Zidrou (Dupuis). Depuis 2014, il se consacre à l’adaptation du best-seller La vie compliquée de Léa Olivier en bande dessinée chez Kennes Editions dont 10 volumes sont déjà parus. !

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Klimt

Vienne, 1907. Le peintre Gustav Klimt rend visite aux époux Bloch-Bauer. Ferdinand demande alors à Gustav de réaliser le portrait de sa femme, Adèle ; requête entraînant un flashback. Six ans auparavant, alors que Klimt essuyait des critiques acerbes au sujet de son œuvre La Médecine , il a rencontré ce couple, admirateur de son génie et dont la femme l’a prié de lui ouvrir les portes de son atelier. Au même moment, l’artiste recevait en rêve l’inspiration pour son prochain tableau. C’est par ce prisme que l’on entre dans l’univers de l’artiste : son atelier, ses modèles, sa mère, sa compagne, Émilie, mais aussi ses rêves, ses angoisses, ses sources d’inspiration en somme. L’histoire narrée en bande dessinée par Cornette et Marc-Renier est une tranche de vie, prétexte à l’évocation du peintre, de son style, de son époque et de l’avant-gardisme dont il y faisait preuve. L’idée est en effet plus de mettre en avant ses particularités que de réaliser sa biographie. Le récit est assez simple et aurait peu d’intérêt sans l’aspect « inspiré de faits réels », mais n’en est pas moins cohérent et bien rythmé.Les dessins sont soigneusement détaillés. Le rendu est classique, avec un crayonné assez fort accentuant les sujets principaux. Les travaux de Klimt évoqués sont réinterprétés plutôt que cités et le résultat est réussi et efficace : le redesign des œuvres permet une intégration fluide dans les cases tout en invitant à les découvrir sous un angle neuf.Le récit principal est suivi d’un court cahier didactique sur Gustav Klimt. Il complète la bande dessinée en développant quelques sujets qu’elle évoque. On y voit notamment des reproductions des œuvres évoquées dans l’album. Ainsi, le lecteur a à portée de main de quoi satisfaire sa curiosité, titillée par l’histoire racontée en images et phylactères.La bande dessinée Klimt est une introduction sympathique à l’œuvre de l’artiste. Les connaisseurs n’apprendront probablement pas grand-chose, là où les néophytes apprécieront l’accessibilité du propos et les informations proposées en fin d’ouvrage. Les visuels soignés plairont aux amateurs de bande dessinée traditionnelle, alors que l’histoire…