Verlaine d’ardoise et de pluie

À PROPOS DE L'AUTEUR
Guy Goffette

Auteur de Verlaine d’ardoise et de pluie

Né le 18 avril 1947 à Jamoigne, en Gaume, dans une famille ouvrière, Guy Goffette étudie à l’École normale d’Arlon. Son maitre, Vital Lahaye, poète lui-même, lui donne le virus  de la poésie. Devenu instituteur, Guy Goffette publie son premier recueil en 1971. Ses écrits poétiques connaissent rapidement une belle renommée. L’écrivain se lance aussi dans l’édition. De 1983 à 1987, il anime les éditions L’apprentypographe, qu’il a fondées, et à l’enseigne desquelles il publie notamment Michel Butor. Abandonnant le métier d’instituteur, il s’installe en France et entre dans le comité de lecture des éditions Gallimard, où il a dirigé les collections Enfance en poésie et Folio Junior en Poésie. Il a reçu de nombreux et prestigieux prix littéraires, à la fois pour sa poésie et pour son travail de fiction. On mentionnera notamment le prix Mallarmé reçu pour Éloge pour une cuisine de province en 1989, le grand prix de poésie de la SGDL en 1999 et le Goncourt de la poésie en 2010. En Belgique, Guy Goffette a reçu entre autres le prix Maurice Carême, le prix Félix Denayer de l’Académie de langue et de littérature françaises de Belgique et le prix Rossel pour Une enfance lingère.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Verlaine d’ardoise et de pluie"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9174 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Michel de Ghelderode ou la hantise du masque

À propos du livre (extrait de l'Introduction)…

Une revue catholique au tournant du siècle : Durendal 1894-1919

À propos du livre (texte de l'Introduction) Lorsqu'on parcourt une histoire de la littérature belge de langue française, le chapitre consacré à cette époque particulièrement florissante, qui va de 1880 à la première guerre mondiale, frappe par l'éclosion soudaine de revues littéraires qui suivirent l'exemple de la Jeune Belgique. Dans la liste de ces revues plus ou moins éphémères, l'attention est attirée par la longévité surprenante de l'une d'elles, Durendal, revue catholique d'art et de littérature . Ce mensuel catholique parut pendant vingt ans, de 1894 à 1914, alors que la Jeune Belgique ne sortit de presse que durant seize années et que la Wallonie disparut au bout de sept ans. Quelle recette a donc permis à Durendal de garder si long-temps ses lecteurs? Et une seconde question vient à l'esprit : à quoi pouvait bien s'intéresser une revue littéraire catholique à un moment où la littérature catholique semble inexistante? Qui a fondé Durendal ? Quels étaient ses objectifs? Autant de questions sur lesquelles bien peu de critiques ou d'historiens littéraires se sont penchés. En faut-il davantage pour désirer examiner avec un peu d'attention cette revue et la sortir de l'oubli, comme ce fut fait autrefois pour la Jeune Belgique et la Wallonie ? C'est ce que nous allons essayer de faire : rechercher les origines de la revue, découvrir son but, analyser la manière dont elle l'atteignit et les raisons qui la maintinrent en vie au-delà de la durée moyenne d'existence des revues littéraires belges. Ce travail ne se veut pas exhaustif: beaucoup d'aspects devront malheureusement rester ignorés, principalement certains problèmes plus particulièrement artistiques qui sortent de nos compétences par leur caractère trop technique. Nous ne proposerons pas non plus, dans chaque chapitre, un relevé détaillé de tous les articles parus dans Durendal et traitant du sujet mais seulement les extraits les plus significatifs. La présentation typographique de la revue, son illustration de plus en plus abondante et le sommaire de chaque numéro ne nous paraissent pas mériter de longs développements. Il suffit de savoir qu'en 1894 chaque numéro comptait vingt pages, tandis que ce nombre…

L’Affaire De Coster | Van Sprang

À propos du livre Un dossier inédit, découvert…