Une pellicule sur la tête d’un pauvre type

RÉSUMÉ

Pour Patrick Henin, « les substances aphorisantes »
comme il les appelle, sont pareilles à des huiles essentielles. Il suffit d’en verser une goutte dans un coin de la tête, pour qu’elles diffusent, soit leur parfum, leurs images, soit des pensées ou des idées, et parfois aussi une part de mystère …
En tout cas, ajoute-t-il en riant, il y en a toujours plus à l’intérieur qu’à l’extérieur !
Même si Patrick a souvent écrit ses contes, ses fables, ses pièces de théâtre sous des noms différents, « Nous sommes chacun une histoire peuplée de nombreux personnages », il n’en demeure pas moins un écrivain fort singulier.


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Une pellicule sur la tête d’un pauvre type"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9226 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

La Rechute d’Icare

Bien qu’oscillant entre philosophie et poésie, l’aphoriste n’a rien du sage…

Sans envie de rien

Je n’aurais pas pu choisir entre les phrases de l’un et les dessins de l’autre.…

Le virelangue

Que Julos Beaucarne affectionne le virelangue - dont on ne sait peut-être pas que c'est mots ou phrases…