.Partir, partir, comme un chant d’oiseau se noie dans les cimes.
.Ce n’est pas mon apparence qui me définit mais le manque.
.Sans le vide en moi pour recevoir autrui, j’aurais déjà coulé.
(*)qu'importent nos motsils roulent pêle-mêledans le grondement des lamesvenues…
Poèmes de Paul Mathieu avec des illustrations de Jean Morette 1. Le train électrique revenu de l'enfance…