Un refuge chez Vermeer


RÉSUMÉ

Le jour coagulait comme un caillot, cause de notre mort. Le mystère rompait le pain noir. Écume fabuleuse : de ceux à qui nous avons tout donné, qui chantent par nos voix quand des tonalités étonnent.

Tout poème entame la destruction de la pureté. Un charme immatériel restitue l’immensité de la neige qui a porté sa trace. Ainsi son existence tient-elle du doute absolu.





NOS EXPERTS EN PARLENT...
Le Carnet et les Instants

Que demander sinon l’intensité ?” Ces mots, rencontrés au détour des poèmes en prose de Roland Ladrière composant Un refuge chez Vermeer précédé de Le détail pur dans l’indistinct, pourraient être placés en exergue du recueil.Impressions subtilement gravées, images incisives ou nuancées, éclairs de plénitude ou d’amertume dessinent une partition où la confidence ouvre sur le mystère.

« Tu prononçais parfois dans le sommeil le nom de l’être aimé ; et j’aiguisais ma jalousie à cette pierre inattendue, moi qui prenais à ton corps ma lumière et mon vin. »

« J’ai traversé la nuit, moins pour elle que son souvenir ; pour garder sa couleur et son grain sur…


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