Un jour d'été à Central Park

RÉSUMÉ
« Rien ne se passe. Je me suis endormie contre Alice. Alice in Wonderland. Alice en bronze, souriante au détour d’une allée de Central Park. Je me réveille doucement.
J’ai soif, il fait chaud. C’est un jour d’été. »Réveil au pied des tours verticales de Manhattan ? Vraiment ?

Ou le petit bistrot bruxellois, dénommé le Central Park, tendrait-il sa terrasse d’été, sans nul doute propice à partager les instants surréalistes d’une quotidienneté insolite ?

Car c’est bien dans une ambiance typiquement bruxelloise et flamande que nous fait naviguer l’auteure.

Au fil du quotidien, l’onirique frôle l’absurde sur l’aile des tendresses et des solitudes.

À PROPOS DE L'AUTEUR
Anne-Michèle HAMESSE

Auteur de Un jour d'été à Central Park

Anne-Michèle Hamesse est une Bruxelloise «pure souche» depuis 1948, année de sa naissance, et elle le répète à l'envie.Élevée par sa grand-mère maternelle (sa mère est décédée alors qu'elle n'avait que quelques semaines), elle a fait ses humanités gréco-latines à l'Athénée d'Uccle.Le père, Pierre-Paul Hamesse, était avocat, mais aussi écrivain renommé; le grand-père était architecte, l'arrière grand-père était peintre tout comme un grand-oncle. C'est donc tout naturellement qu'Anne-Michèle s'est tournée vers l'art, pourrait-on croire. Et pourtant. Forte en dissertation et après un bref passage à l'ULB en 1969, elle entame des études de journalisme à la Maison de la Presse (elle obtiendra son diplôme en 1970) et rédigera des articles de critique télé pour la Libre Belgique. Mais lorsqu'elle veut s'inscrire pour la deuxième année, elle trouve porte close. Il pleut. La porte ouverte de l'Académie d'Art d'Uccle est ouverte. Elle y trouve refuge et s'inscrit (de 1970 à 1990). Elle sera ainsi l'élève d'Arié Mandelbaum, dont elle subit fortement, reconnaît-elle, l'influence.Son passage de la peinture à l'écriture se fait tout naturellement, via le dessin. Et puis, il y a eu aussi de plus en plus de mots dans mes dessins. Finalement, je n'ai gardé que les mots. Et tout naturellement, je me suis mise à écrire .Anne-Michèle Hamesse a deux enfants, un fils aîné qui termine actuellement une licence scientifique à l'ULB, et une fille qui l'avait amenée, alors qu'elle la portait, à changer son style de peinture (notamment par une suite intitulée en attendant Marie), et d'apporter des couleurs vives et joyeuses à ses toiles.C'est aussi cet heureux événement qui a entraîné Anne-Michèle Hamesse à l'écriture de Natale. Depuis lors, écrire reste sa passion première, parce que, dit-elle, je peux y être totalement moi-même, alors qu'en peinture, je subissais l'influence d'autres artistes.Très voyageuse depuis quelques années (France, Italie, Suisse, Danemark, Canada, États-Unis, New-Orléans, Las Vegas, New-York, San Francisco, Texas, Moscou ...), Anne-Michèle Hamesse est allée à Moscou, visiter des orphelinats et porter quelques douceurs aux enfants qui y vivent. Avec son mari, Jean-Philippe Braam (qui est... restaurateur de tableaux!), elle accueille chaque année une petite fille qui vit dans l'un de ces orphelinats, et qui a l'âge de Marie.Résidence d'auteur à l'Academia Belgica de Rome (2003).

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