« Dans le mot « seul » il y a quatre lettres, quatre définitions de la solitude. S comme solitaire c’est-à-dire seul par goût de la solitude . E comme esseulé, c’est-à-dire seul parce qu’abandonné des autres. U comme unique, seul de , son espèce, et enfin L comme libre c’est-à-dire seul à décider », écrit Michel Hannoun.
La vie moderne est marquée du sceau de la solitude. L’angoisse existentielle est palpable. Les malentendus, l’indifférence, le mensonge, la mort creusent…
Des spectres. Des revenantes, enfouies au fond de nous. Les mères, oppressantes, harcelantes, les ogresses,…