« Dans le mot « seul » il y a quatre lettres, quatre définitions de la solitude. S comme solitaire c’est-à-dire seul par goût de la solitude . E comme esseulé, c’est-à-dire seul parce qu’abandonné des autres. U comme unique, seul de , son espèce, et enfin L comme libre c’est-à-dire seul à décider », écrit Michel Hannoun.
La vie moderne est marquée du sceau de la solitude. L’angoisse existentielle est palpable. Les malentendus, l’indifférence, le mensonge, la mort creusent…
Née le 14 mai 1939 à Wavre.
Maîtrise en Lettres Modernes, UCL, Louvain-la-Neuve.
J’écris comme je respire, aussi j’écris presque tout le temps, chez moi, dans le train, le métro, lors des ateliers d’écriture que j’anime. J’écris en puisant dans l’enfance inusable aussi bien qu’en observant petits et grands. J’aime travailler en correspondances avec d’autres artistes. Parfois je confie mes textes à des illustrateurs et parfois je travaille en dialogue avec eux. J’ai collaboré à plusieurs anthologies pour la jeunesse chez Hachette, collection Fleur d’encre.
Le temps nous entraîne. Nous n'avons aucun recours. Pourtant, il nous offre l'avantage…