Walla, récit, Paris : Transédition, 1986.
Monsieur Rutil, roman, Paris : éditions Ledrappier, 1987.
Le Palais des Haches, roman, Bruxelles : Didier Devillez éditeur, 1995. (The Axe Palace, traduit en anglais par Michael Woosnam-Mills, Didier Devillez éditeur, Bruxelles, 2002.)
Le Vigile, roman, précédé de Walla, récit, Bruxelles : Didier Devillez éditeur, 1996. (Monsieur Rutil, Watchman, traduit en anglais par Michael Woosnam-Mills, Didier Devillez éditeur, Bruxelles, 1999.)
Ce qui fut le ciel, poèmes, Châtelineau : Le Taillis Pré, 1996.
L'Hypothèse du Miroir, poèmes, Bruxelles : Didier Devillez éditeur, 1996.
La Tentation du Visage, poèmes, Bruxelles : Didier Devillez éditeur, 1998.
Itinéraire de l'Eclipse, poèmes, Bruxelles : Didier Devillez éditeur, 1999.
Les Disparitions, poèmes, Bruxelles : Didier Devillez éditeur, 2000.
Le Mort des Commencements précédé de Dans l'Ignorance des Territoires, poèmes, Bruxelles : Didier Devillez éditeur, 2001
Voix, poèmes, Bruxelles : éditions Henry Fagne, 1976.
L'erailleurs yeux, poèmes, Grivegnée : Atelier La Soif Etanche, 1976.
Nuit, Aube, poèmes, Bruxelles : éditions Henry Fagne, 1977.
Dessins, Bruxelles : Théâtre Banlieue, 1984.
Né à Uccle le 1er octobre 1955 sous le nom de Jean-François de Bodt, François Muir est, selon Marc Quaghebeur[1], « le poète le plus important de sa génération en Belgique ». Et pourtant, son œuvre demeure discrète et méconnue du grand public. Quelques auteurs partagent cette idée, et ne tarissent pas d’éloges à son sujet : le regretté Jacques Izoard, mais aussi Jack Keguenne, Frédéric Baal, Yves Namur ou encore Stéphane Lambert qui lui a d’ailleurs consacré un portrait poétique original[2]. F. Muir entretenait plusieurs correspondances avec des auteurs reconnus comme J.M. Coetzee qui disait au sujet de sa poésie qu’elle l’impressionnait par sa limpidité et sa clarté.Pour ma part, je le découvre par le biais de cette publication…
Constitué de sept sections, chiffre symbolique s’il en est, présent dans de nombreuses…