« Un auteur français contemporain doté d’une certaine célébrité a intitulé un de ses romans : La carte et le territoire. De manière un peu intuitive, il enregistrait ainsi le « moment cartographique » dans lequel nous sommes entrés, comme citoyens, mais aussi comme chercheurs ou artistes. La présente livraison de Textyles prend l’expression dans un sens un peu particulier. Elle part du constat que la carte constitue un langage qui se prête particulièrement bien au dialogue interdisciplinaire ainsi qu’à la transmission d’un savoir. Nous proposons dès lors pour la première fois d’explorer le corpus littéraire belge sous l’angle géographique, en insistant par ailleurs sur la rentabilité pédagogique et scientifique du dialogue entre « littéraires » et géographes. C’est donc de la carte en tant qu’outil et du territoire bruxellois qu’il s’agira ici, pour rendre compte de l’imaginaire urbain de nombre d’écrivains des XIXe, XXe et XXIe siècles. Certains d’entre eux sont quasiment tombés dans l’oubli, et ils devront donc à cette approche géocritique de revenir au premier plan. Tel est le cas de Mario Aris, mais aussi de George Garnir, d’Émile Leclercq ou de Pierre Bourgeois. L’enquête s’étend aussi à des écrivains importants, comme ceux de La Jeune Belgique ou Christian Dotremont, et aux contemporains Mina Oualdlhadj et Pie Tshibanda. Tous ces auteurs ont habité et rêvé leur ville ; nous parcourrons à leur suite les textes qui sont la trace de leurs passages. »
Première édition
Éditeur : Samsa
Date :
Format : revue
Éditeur : Ker
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Éditeur : Ker
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Date : 2024
Format : revue
Éditeur :
Date : 1990
Format : revue
Éditeur :
Date : 1989
Format : revue
Éditeur :
Date : 1988
Format : revue
Éditeur : Ker
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Éditeur : Ker
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Éditeur : Ker
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Éditeur : Samsa
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Éditeur : Samsa
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Éditeur : Samsa
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Les Navigateurs de l’infini, précédé de Les Xipéhuz
En deux récits emblématiques parcourant quarante ans d’écriture, ce recueil propose une synthèse de l’imaginaire scientifique de J.-H. Rosny aîné. Dans le lointain passé des Xipéhuz, il imagine la rencontre entre des peuplades préhistoriques et une forme de vie non-organique d’une saisissante altérité. Dans le futur stellaire des Navigateurs de l’infini et des Astronautes, il décrit les premiers voyages de l’Homme sur Mars. À la tête d’une œuvre visionnaire et intemporelle, Rosny aîné déploie ainsi son imaginaire dans le temps et dans l’espace pour interroger notre place dans l’univers. L’auteur y pose les bases d’une réflexion audacieuse sur l’humanité, sa singularité et son devenir. Un ensemble de questions au cœur de la science-fiction à naître et dont il apparaît aujourd’hui comme un des pères fondateurs.…
Uzès. La ville du rêve. La ville de l’absence. Un songe emporté par le vent. L’impression d’une…
Victor Hugo : Les années d'exil et d'écriture à Bruxelles (L'Article n°4)
Collection "L'Article", n°4 Éditorial de Maxime Lamiroy : La Belgique est une terre d'exil, où vit le peuple d’Oubli. L'article de Marc Meganck ne nous remémore pas les instants passés de Victor Hugo à Bruxelles, il nous les conte et nous les entendons pour la première fois. Ces noms de rues familières du centre, animées autrefois d'êtres médiévaux et de sentiments révolutionnaires, la vindicte populaire belge, les banquets aristocratiques de l'impasse du Parc, et l'architecture éblouissante de Sainte-Gudule, de la Grand-Place ou des Galeries royales Saint-Hubert que nous ne pourrons jamais apprécier avec les yeux enchantés du premier touriste, toutes ces choses nous entourent et sont une partie de nous. Il est grand temps d'enlever le voile centenaire d'incuriosité dont nous avons recouvert notre tête et notre pays.La Belgique est une terre d'exil, où vit le peuple d’Oubli. L'article de Marc Meganck ne nous remémore pas les instants passés de Victor Hugo à Bruxelles, il nous les conte et nous les entendons pour la première fois. Ces noms de rues familières du centre, animées autrefois d'êtres médiévaux et de sentiments révolutionnaires, la vindicte populaire belge, les banquets aristocratiques de l'impasse du Parc, et l'architecture éblouissante de Sainte-Gudule, de la Grand-Place ou des Galeries royales Saint-Hubert que nous ne pourrons jamais apprécier avec les yeux enchantés du premier touriste, toutes ces choses nous entourent et sont une partie de nous. Il est grand temps d'enlever le voile centenaire d'incuriosité dont nous avons recouvert…