Carl Norac dédie son texte à son « maître à rêver », Barnabus Arnasungaak, un artiste inuit, sculpteur et graveur d’estampes. Cette dédicace ne nous étonne guère. On connaît la fascination du poète pour le Nord extrême, la culture inuit, « la banquise comme une page blanche ». À ce propos, nous reviennent en mémoire les titres de deux de ses albums, publiés chez Pastel, Angakkeq la légende de l’oiseau homme et Le sourire de Kiawak. Ils étaient réalisés avec la complicité…
Né le 29 juin 1960 à Mons
Régendat Français, Histoire, Morale laïque, Mons
Je rêve toujours d'un journal de gestes et d'une invitation au voyage. Je fais de mon mieux pour que le poème soit partout, agissant, en vers ou dans la prose des contes. Je veux garder vivant ce petit lien ténu avec le fond de soi et l'emmener vers le regard de l'autre. Lauréat d'une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide à la création, 2008 et 2013. Poète National-er Dichter des Vaderlands 2020