Auteur de Sommet d’où jeter son pinceau
Autant le dire tout de suite : j’aime Werner Lambersy, le poète Werner Lambersy. J’aime le fait qu’il joue franco. Cartes sur table. J’aime la limpidité de ses recueils. La limpidité de chacun de ses « projets », comme on dit. Sommet d’où jeter son pinceau n’échappe pas à cette règle. Tant mieux pour nous, dirais-je.Dans une espèce de préface de quelques lignes mais qui n’en est pas une, Lambersy nous avertit : ce recueil a été écrit d’après les cent vues d’Edo de Utagawa Hiroshige où, humble interprète reprenant les instants de la vie quotidienne, il interprète avec des moyens simples des paysages dont l’homme ni la nature ne sont jamais absents. Et voilà,…
Il y a quelques années déjà, nous avions été séduits par un ouvrage de Laurent Robert ( Sonnets de la…