Silence Blanc : Le Grand Nord de Jack London


RÉSUMÉ

Silence Blanc – Le Grand Nord de Jack London est un livre qui mixe bande dessinée, littérature américaine et documentaire.

« Le convoi s’était arrêté à l’heure du déjeuner. Malemute Kid et Mason ramenaient vers la ville les
fourrures de leur dernière saison de chasse. Accompagnés de Ruth, l’épouse indienne de Mason, les deux trappeurs affrontaient une fois encore l’impitoyable hiver du Grand Nord… »

80 pages pour se plonger dans l’ambiance glaciale et sauvage du Grand Nord américain magnifié par Jack London (l’auteur de Croc-Blanc, Martin Eden ou encore L’Appel de la Forêt).

Une BD de 46 pages, un dossier documentaire de 20 pages et le texte original commenté.


À PROPOS DE L'AUTEUR
Benjamin Fischer (Van Linthout)
Auteur de Silence Blanc : Le Grand Nord de Jack London
Benjamin Fischer est un scénariste de bande dessinée né en 1982 en Belgique. Il a publié trois albums pour les éditions La Boîte à Bulles : Braquages & Bras Cassés (avec Georges Van Linthout au dessin, 2010), La Cabane (dessiné par Stibane, 2015) et Arraigo (avec G. Van Linthout, en partenariat avec Amnesty International, 2015). En 2011, il obtient le Prix Sang 9 (BD policière) au Festival International du Film Policier de Liège pour Braquages & Bras Cassés. En 2016, il est aussi récompensé par le Prix Charles-Henri Salin (BD reportage) remis par des lycéens de Guadeloupe pour l’album Arraigo. Par la suite, il collabore de nouveau avec Stibane sur Retour en Calabre (éditions Le Chaînon Manquant, 2018) et sur Silence Blanc – Le Grand Nord de Jack London (éditions Le Chaînon Manquant, 2020). En 2022, il scénarise Le Champ des Possibles (éditions Le Chaînon Manquant, avec Chris Damaskis au dessin et François Sonnet en co-auteur), un reportage en BD sur la transition écologique et alimentaire.
Stibane (Luc Van Linthout)
Illustrateur de Silence Blanc : Le Grand Nord de Jack London
Quand j’écris moi-même, j’aime traiter de thèmes délicats comme la guerre, les réfugiés, la différence ou des lignes de vie comme la découverte, les premiers amours… Ma technique est le monotype et l’acrylique ou/et la gouache. Je réalise actuellement des albums dont les dessins sont créés par informatique. Cette technique permet une approche différente grâce à une simplification du dessin ce qui donne un autre rapport texte image. Lauréat d’une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide à la création, 2007 et 2015 Lauréat d’une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide au projet, 2011 Lauréat d’une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide au projet en langues régionales, 2013

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Klimt

Vienne, 1907. Le peintre Gustav Klimt rend visite aux époux Bloch-Bauer. Ferdinand demande alors à Gustav de réaliser le portrait de sa femme, Adèle ; requête entraînant un flashback. Six ans auparavant, alors que Klimt essuyait des critiques acerbes au sujet de son œuvre La Médecine , il a rencontré ce couple, admirateur de son génie et dont la femme l’a prié de lui ouvrir les portes de son atelier. Au même moment, l’artiste recevait en rêve l’inspiration pour son prochain tableau. C’est par ce prisme que l’on entre dans l’univers de l’artiste : son atelier, ses modèles, sa mère, sa compagne, Émilie, mais aussi ses rêves, ses angoisses, ses sources d’inspiration en somme. L’histoire narrée en bande dessinée par Cornette et Marc-Renier est une tranche de vie, prétexte à l’évocation du peintre, de son style, de son époque et de l’avant-gardisme dont il y faisait preuve. L’idée est en effet plus de mettre en avant ses particularités que de réaliser sa biographie. Le récit est assez simple et aurait peu d’intérêt sans l’aspect « inspiré de faits réels », mais n’en est pas moins cohérent et bien rythmé.Les dessins sont soigneusement détaillés. Le rendu est classique, avec un crayonné assez fort accentuant les sujets principaux. Les travaux de Klimt évoqués sont réinterprétés plutôt que cités et le résultat est réussi et efficace : le redesign des œuvres permet une intégration fluide dans les cases tout en invitant à les découvrir sous un angle neuf.Le récit principal est suivi d’un court cahier didactique sur Gustav Klimt. Il complète la bande dessinée en développant quelques sujets qu’elle évoque. On y voit notamment des reproductions des œuvres évoquées dans l’album. Ainsi, le lecteur a à portée de main de quoi satisfaire sa curiosité, titillée par l’histoire racontée en images et phylactères.La bande dessinée Klimt est une introduction sympathique à l’œuvre de l’artiste. Les connaisseurs n’apprendront probablement pas grand-chose, là où les néophytes apprécieront l’accessibilité du propos et les informations proposées en fin d’ouvrage. Les visuels soignés plairont aux amateurs de bande dessinée traditionnelle, alors que l’histoire…