S’effondrer sans






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Le Carnet et les Instants

À quoi sert d’écrire encore et encore, de noter ces tranches de mémoires, ces tendres tensions que le souvenir nous pousse à consigner dans un carnet ? À quoi rime la volonté du dire toujours quand on vit et travaille dans un pays ravagé par le génocide ? Telles sont en somme les questions difficiles et implacables que pose Nicolas Grégoire au fil de ses recueils et auxquelles, malgré sa connaissance du Rwanda, il se garde bien de répondre. Car le poète ne cherche pas à élucider l’inexprimable justement parce qu’il est indicible. Plutôt, il tente la douloureuse entreprise d’interroger les souvenirs en déliant les réseaux inextricables d’une mémoire déchirée, fragmentée. Une mémoire en lambeaux comme l’écrirait Charles Juliet et dont on sait d’avance…


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