À la terrasse, mon ombre prit ma place. Le plateau amena tranquillement le serveur. Mon verre me but. L’horloge du soleil donnait l’envers du temps – ou l’inverse d’ailleurs. Le soir épousait l’aube d’un geste anodin. Et je me retrouvai, l’œil brisé, fort de ma double vue, sur les cordes d’un quatuor.
Auteur de Sarabandes
Depuis Prélude jusqu’à Silence, Sarabandes de Tristan Alleman sculpte 88 pages de petits objets littéraires qui sont autant de déridantes dérisions et de petits dérèglements. Vingt heures : l’heure du crime. Le fantôme est en avance. Chaque textes est un petit pavé astucieusement taillé et amusément jeté dans la marre du bon sens. Il éclabousse l’esprit de pensées nouvelles a priori sans connexions. Pourtant pertinentes : Que seraient châteaux et manoirs sans leur hantise ?Ceci est à réfléchir dans Le train, en regard du cou d’une girafe dont le moral en prend un, suite à son obscure condamnation à la pendaison. Ce qui nous déraille via Jadis à Les pleurs, détaillant…
C'est une sorte de conte philosophique qui commence par l'évocation d'un vieillard,…