Sapiens, nul n’échappe à l’origine

RÉSUMÉ

« Les graminées caressent les doigts des marcheurs de l’aube, tutoient leurs chevilles d’un fin baiser mouillé, bénissent les migrants puis l’aube des temps. »

À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean-Pierre Sonnet

Auteur de Sapiens, nul n’échappe à l’origine

Jean-Pierre Sonnet est né à Louvain en 1955. Il est prêtre dans la Compagnie de Jésus. Spécialiste des approches littéraires de la Bible, il dirige la collection "Le livre et le rouleau" aux éditions Lessius. Jean-Pierre Sonnet est lauréat du Prix Henri Davignon en 2010, décerné par l'Académie Royale de Langue et de Littérature françaises de Belgique, pour son essai Membra Jesu Nostri. Ce que Dieu ne dit que par le corps (Le Taillis Pré).
  • La parole consacrée, Éditions Peeters, 1984.
  • La Parole consacrée : théorie des actes du langage, linguistique de l’énonciation et parole de la foi. Cabay, 1984.
  • L'Écriture, âme de la théologie. Institut d'Études Théologiques, 1990.
  • The Book within the Book, Éditions Brill, 1996.
  • L’analyse narrative des récits de l’Ancien Testament. Cerf ; Service Biblique Evangile et Vie, 1999. (Cahiers Evangile ; 107).
  • Bible et littérature : L’homme et Dieu mis en intrigue. Lessius ; Presses universitaires de Namur, 1999. (Le livre et le rouleau ; 006).
  • Le corps voisé, Le Taillis Pré,  2002.
  • Membra Jesu Nostri. Ce que Dieu ne dit que par le corps, Le Taillis Pré, 2010. Prix Henri Davignon 2010.
  •  

    AVIS D'UTILISATEURS

    FIRST:xfirstword - "Sapiens, nul n’échappe à l’origine"
    stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9176 ) )

    Ceci pourrait également vous intéresser...

    La maison basse

    Recueil de poèmes inspirés du quotidien, de la nature et de l'amour.

    Caresses du temps

    Le temps nous entraîne. Nous n'avons aucun recours. Pourtant, il nous offre l'avantage…

    Chant de feu

    "Un beau livre, sobre, vif, qui rend tangibles les saisons et les heures. Les illustrations d’Anne Leloup devancent ou suivent le poème avec la force sereine des empreintes." Critique de Françoise Lison dans Le courrier de l’Escaut paru en octobre 1999. Extrait : "A force de se chercher de se trouver de se perdre de rouvrir le sentier des rencontres de déplorer les malentendus les impasses de célébrer les retrouvailles ils déboucheront dans la clarté sans fin" [Source : Le site des éditions…