Sur la couverture, une rue colorée et des pastilles lumineuses, un parcours entre les maisons et quelques flèches qui invitent sans doute à passer les portes, c’est la rue des Amours. Lorsqu’on ouvre le livre, la même ville est toute grise et on peine à la reconnaître. La narratrice souligne d’ailleurs cette divergence entre le nom de la ville et son aspect. Elle annonce son projet : «…
Leina et le Seigneur des amanites
Cette forêt a des yeux et des oreilles, cette forêt est hantée...…
Marguerite n'a rien d'une vache qui rit. Elle n'est ni rouge, ni bleue, ni lilas, mais tout simplement…