Au fil des pages, le masque du pervers narcissique manipulateur tombe. L’emprise y est comprise et la résilience tiendra le lecteur en haleine. L’histoire raconte de manière cinglante et originale, les faciès kaléidoscopiques que peut emprunter la tyrannie. Dans ce roman aux parfums existentialistes, rien n’est sûr et rien n’est moins sûr.
Auteur de Qu’on me coupe la têêêêêête!
Auteur de Qu’on me coupe la têêêêêête!
Véritable surprise que la découverte de ce livre ! En 1879, Marie Nizet publie Le capitaine vampire…
Mais qui l'avait muté dans ce département, antichambre de la retraite où s'entremêlait…