Points critiques - n° 376 - mai-juin 2018 - Focus sur la rue de la Victoire

Sommaire

  • éditorial
    Anne Grauwels
  • focus
    Pas de quartier
    Judith Lachterman
    Retour à la rue de la victoire
    Alain Lapiower
    La porte du 61
    Gérard Weissenstein
    Santé plurielle, la maison médicale de la rue de la Victoire
    Michel Roland
    Le 192D
    Anne Gielczyk
    Poème et illustration
    Pablo Van Den Bulcke
    Jean-Marie La Haye, le Gauguin de la magistrature
    Gérard Preszow
  • Agenda
  • Mai 68-18…
    68, que nous en reste-t-il ?
    Françoise Nice
  • Israël-Palestine
    Selon que vous serez… 
    Henri Wajnblum
  • Lire
    Antonio Moyano, poète
    Tessa Parzenczewski
    Ghetto de Varsovie, oser la fiction
    Tessa Parzenczewski
    «Toutes les iles et l’océan», roman de Jean-Pierre Orban
    Antonio Moyano
    «Western Tchoukoutou» ou le western spaghetti à l’africaine
    Antonio Moyano
  • Parcours d’artistes
    Le temps des artistes
    Tessa Parzenczewski
    Focus sur Max Lapiower: «À mon grand-père»
    Gérard Preszow
    Les créatures du dimanche
    Agenda du parcours d’artistes à l’upjb
  • Voir
    Voyage au pays du collage et des collagistes / 6
    Jacques Aron
  • Fiction
    Mieux vaut soixante-huitard que jamais
    Irène Kaufer
  • Festival Klezmer
    Shtetl Saint-Gilles: Oï vaï!
    Joanna Blumberg-Britton, Amandine Seifert


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Points critiques - n° 376 - mai-juin 2018 - Focus sur la rue de la Victoire"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Sac à puces Vol 3. Gare à ta truffe !

Sac à Puces, le chien de gouttière, a-t-il enfin trouvé un foyer ? Suite à un cambriolage, la famille Duchêne est décidée à accueillir un protecteur canin. Mais le papa de Margot a sélectionné…

Le poison vert

Dessins d'Edouard Aidans sur un scénario de Greg. Couverture de Hermann.

CHAMPS DE BATAILLE

Éric Derkenne a fait du visage le théâtre de ses précises opérations.Jour après jour cerné de lignes ombrageuses, le siège du combat se disloque en de sombres cavités. Les yeux, les oreilles, les narines, la bouche sont autant de gouffres que l'artiste sonde inlassablement et qui emportent celui qui les scrute dans des tourbillons vertigineux. Les têtes prennent corps et dans ce bataillon de figures totémiques, chaque soldat se distingue grâce à une infinité de détails graphiques.Parti d'un bigbang de formes colorées et isolées dans l'espace, Éric Derkenne a mis en place au fil des ans une méthode précise et immuable, un réseau de circonvolutions de cercles et de serpentins qui envahit la feuille blanche, donnant naissance à d'énigmatiques portraits. Tel une « dentellière du stylo à bille », il s'est abîmé avec application dans ce lent ouvrage de tissage, d'entrelacement de lignes, ceignant sa propre image, par maints assauts répétés. À l'identité qui défaille, Éric Derkenne a répondu…