Plurielles : Femmes de la diaspora africaine | Objectif plumes

Plurielles : Femmes de la diaspora africaine

RÉSUMÉ

Cet ouvrage, qui mêle portraits littéraires et portraits photographiques, retrace les trajectoires de vingt femmes d’origine africaine établies en Belgique. Celles-ci témoignent des difficultés partagées, mais surtout de leurs parcours de réussite et de reconnaissance sociale.

Brillantes et engagées dans les milieux culturel, politique et associatif, elles apportent un autre regard sur les questions migratoires et la situation des femmes en particulier. Si les problèmes de racisme et de discriminations sont bien réels, si le chemin paraît encore long et tortueux, les luttes individuelles ou collectives finissent par payer.

Sans angélisme, mais sans défaitisme non plus, le message que ces femmes adressent, notamment aux jeunes générations, est celui des possibles.

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Le Carnet et les Instants

Portraits : le mot appartient à la fois au monde de la photographie et à celui du récit. Ce livre le montre d’excellente manière et l’on s’étonne qu’il n’ait pas été écrit plus tôt, tant il est le reflet d’une urgence et d’une nécessité : celles de montrer les parcours exemplaires de femmes d’origine africaine résidant en Belgique dans lesquels peuvent se re-connaître les jeunes générations. Vingt femmes qui font la Belgique d’aujourd’hui, une Belgique cosmopolite, mondialisée dans le bon sens du terme.

Outre Véronique Vercheval dont la pertinence et l’excellence du travail photographique ne sont plus à souligner, un groupe de neuf écrivains ont traduit la parole de ces vingt femmes en autant de récits qui retracent…


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Une revue catholique au tournant du siècle : Durendal 1894-1919

À propos du livre (texte de l'Introduction) Lorsqu'on parcourt une histoire de la littérature belge de langue française, le chapitre consacré à cette époque particulièrement florissante, qui va de 1880 à la première guerre mondiale, frappe par l'éclosion soudaine de revues littéraires qui suivirent l'exemple de la Jeune Belgique. Dans la liste de ces revues plus ou moins éphémères, l'attention est attirée par la longévité surprenante de l'une d'elles, Durendal, revue catholique d'art et de littérature . Ce mensuel catholique parut pendant vingt ans, de 1894 à 1914, alors que la Jeune Belgique ne sortit de presse que durant seize années et que la Wallonie disparut au bout de sept ans. Quelle recette a donc permis à Durendal de garder si long-temps ses lecteurs? Et une seconde question vient à l'esprit : à quoi pouvait bien s'intéresser une revue littéraire catholique à un moment où la littérature catholique semble inexistante? Qui a fondé Durendal ? Quels étaient ses objectifs? Autant de questions sur lesquelles bien peu de critiques ou d'historiens littéraires se sont penchés. En faut-il davantage pour désirer examiner avec un peu d'attention cette revue et la sortir de l'oubli, comme ce fut fait autrefois pour la Jeune Belgique et la Wallonie ? C'est ce que nous allons essayer de faire : rechercher les origines de la revue, découvrir son but, analyser la manière dont elle l'atteignit et les raisons qui la maintinrent en vie au-delà de la durée moyenne d'existence des revues littéraires belges. Ce travail ne se veut pas exhaustif: beaucoup d'aspects devront malheureusement rester ignorés, principalement certains problèmes plus particulièrement artistiques qui sortent de nos compétences par leur caractère trop technique. Nous ne proposerons pas non plus, dans chaque chapitre, un relevé détaillé de tous les articles parus dans Durendal et traitant du sujet mais seulement les extraits les plus significatifs. La présentation typographique de la revue, son illustration de plus en plus abondante et le sommaire de chaque numéro ne nous paraissent pas mériter de longs développements. Il suffit de savoir qu'en 1894 chaque numéro comptait vingt pages, tandis que ce nombre…