L’œil du plasticien Didier Serplet et la plume du poète Werner Lambersy se sont posés sur les plaques d’égout, ou «regards de chaussée» comme disent les égoutiers, afin de les éclairer des mille reflets de la tendresse. Traits d’union symbolique entre deux mondes, ces plaques, semblables à des stèles abandonnées aux pluies et aux soleils – et que passants las ou distraits nous ne voyons plus –, nous révèlent quelques facettes du mystère des tréfonds. Ce livre est une nouvelle…
Gérard Dury a dessiné, ce qu'il sait si bien faire. Quarante dessins, des lignes, des…