Pierre papier ciseaux

RÉSUMÉ
Douze nouvelles qui mettent en scène des héros fragiles qui voient leurs rêves ou leurs projets voler en éclats. Une recontre ou un événement leur permet cependant de reprendre leur destin en main. Maubert, 33 ans, gagne sa vie en faisant des enquêtes pour un institut de sondage. Alors qu’il pleut à verse, il aperçoit une jeune femme en ciré jaune qu’il décide d’interroger.
À PROPOS DE L'AUTRICE
Françoise Duesberg

Autrice de Pierre papier ciseaux

Docteur en sciences sociales, j'ai enseigné à l'université et mené des travaux de recherche, notamment dans les domaines du logement et de l'urbanisme. Je me suis ensuite consacrée à une passionnante mission de concertation dans le secteur de la santé mentale. J'ai renoué tardivement avec le plaisir d'écrire, inséparable de celui de lire. Encouragée par plusieurs prix dans des concours de nouvelles (FWB, Maison de la Francité, AREAW, Province de Liège etc), j'ai écrit quatre romans (dont un pour les jeunes) et trois recueils de nouvelles.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Pierre papier ciseaux"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 10367 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Au bout du conte

"Sachez que je serai le plus heureux des hommes lorsque je verrai cette lueur toute particulière…

Nous sommes tous des playmobiles

La collection « Espace Nord » accueille dans son conservatoire…

Monsieur Satie : L'homme qui avait un petit piano dans la tête

Pour découvrir l'oeuvre d'Erik Satie à travers une histoire et des extraits des plus célèbres pièces du compositeur. Mélancolique et triste à souhait, cet album-CD n’en est pas moins magnifique. Parler d’Erik Satie - le solitaire, le marginal, l’excentrique souvent incompris -impliquait un ton décalé, gentiment moqueur et grinçant, que rend très bien la voix du récitant François Morel (qui doit sa célébrité, rappelons-le, à l’émission télévisée des Deschiens sur Canal +). Ce n’est pas une araignée au plafond mais juste un petit piano que Monsieur Satie a dans la tête. Les notes de musique y trottent, y vagabondent sans relâche. Il est audacieux, anticonformiste, se moque du wagnérisme et des vaniteux. De son cœur s’échappent des mélodies simples pour rêveurs et poètes, un public qui lui ressemble. « Monsieur Satie parle parfois à la lune. » Et parfois aussi, « Monsieur Satie met son smoking pour écrire une partition. » Il compose, explore, mélange les genres au risque d’être méprisé. Certains l’admirent cependant, comme Cocteau ou Picasso. L’illustratrice Elodie Nouhen évoque bien l’esprit des surréalistes et la solitude du petit monsieur perdu dans le tourbillon des notes. Touches de piano, métronome, partitions…sont surdimensionnés par rapport au musicien qui ne semble pas plus haut que trois chapeaux. Ce que Raymond Lulle appelait « la tristesse par surabondance de pensée » s’applique…