La Maison de la Francité est un lieu d’accueil où la vie circule.
Le passage entre les deux bâtiments, l’ancien et le nouveau, concrétise cet aspect.
Il donne sur le petit jardin souvent fleuri par une paroi entièrement vitrée qui laisse pleinement entrer la lumière, conditions idéales pour des expositions. Non de celles où l’on s’attarde longuement mais plutôt qui suggèrent, en accrochant le regard, l’essentiel d’un projet, d’une démarche artistique, d’un florilège de textes.
Il nous a donc paru intéressant, à l’occasion du colloque «Faut-il brûler Plisnier» de proposer à tous ceux qui y passent, une approche «impressionniste» plutôt que didactique, de la personnalité de Charles Plisnier.
Que pouvaient nous suggérer les photos et les textes exposés ?
Regard sur Mons
Charles Plisnier est né à Ghlin, au nord-ouest de l’entité de Mons. Lorsqu’il a dix ans, sa famille emménage dans la ville même, 10 rue Chisaire, en contrebas de l’église…