L’humour est la glorieuse incertitude du poème, surtout si celui-ci se mêle de pratiquer du sport. L’esprit matois d’Arthur Léonard apparaît dès la belle ordonnance de la table des matières : le champion y côtoie le péquenot, le nobliau rencontre le populo. Cette taxinomie est un merveilleux désordre caustique.
Décédé en 2003, Arthur Léonard nous a laissé, outre un essai historique et toponymique sur son village natal, des romans et poèmes dont cette approche biscornue du sport.
Alain Dantinne
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