Et voilà qu’un beau jour, je fus grand-père. Alors à intervalles plus ou moins rapprochés, je vis débouler mes petits-enfants dans mon jardin, le jardin de Babou, ainsi qu’ils prirent l’habitude de l’appeler.Ses petits-enfants, on les aime deux fois, dit-on. Une fois quand ils arrivent et une fois quand ils repartent. Et en effet, je les ai quelquefois aimés davantage à leur départ qu’à leur arrivée. Cependant, dans mon jardin, ils m’ont souvent ramené…
Adolescent, Charly Delwart avait pris l’habitude de faire des référendums auprès de ses amis pour…
Ciels assombris par la guerre, ciels nuageux de la vie familiale, ciels rougeoyants des lueurs de l'aciérie,…