Dans l’Antiquité, le corps nu exalte la beauté et la santé. Durant l’ère chrétienne, il devient signe de fragilité, de misère spirituelle et matérielle (Job). Les artistes continueront pourtant à célébrer la beauté du corps à l’expresse condition qu’il souffre : que le martyre dédouane le désir, Éros triomphant au prix des flèches (saint Sébastien) et des clous (le Christ).
En sommes-nous si éloigné ?
Auteur de Périzone
Ce texte sauvage est un long cri de révolte en faveur de l'Ardenne et de la Wallonie. Écriture d'avant-garde sur le signifiant,…