Sortie de l’anonymat par ses disciples, en particulier par Marcel Mariën, l’œuvre de Paul Nougé (1895-1967), polémique et allusive, a été recontextualisée grâce au travail de chercheurs qui ont identifié les « cibles » visées par Nougé, donnant accès aux enjeux de textes qui ne prennent sens que d’être adressés. Son travail s’ancre dans une réflexion originale sur la nature du discours et les conditions du lien social, et sur la possibilité même de l’échange et sur l’ampleur du malentendu.
Première édition
Éditeur : Samsa
Date :
Format : revue
Éditeur : Ker
Date :
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Éditeur : Ker
Date : 2024
Format : revue
Éditeur :
Date : 1990
Format : revue
Éditeur :
Date : 1989
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Éditeur :
Date : 1988
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Éditeur : Ker
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Éditeur : Samsa
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À la direction de ce numéro de la revue Textyles consacré à Paul Nougé, Paul Aron (ULB) et Pierre Piret (UCLouvain) en conviennent d’emblée : il est encore difficile de cerner la personnalité en regard de l’œuvre, alors que depuis plusieurs années la reconnaissance éditoriale et critique est venue combler le long processus d’effacement auquel Nougé s’était lui-même adonné, avant que Marcel Mariën, son éditeur et fils spirituel, ne vienne y remédier. Chez Nougé, rien ne semble manquer, de l’approche biographique (Olivier Smolders, 1995) à l’exégèse doctorale (Geneviève Michel, 2013), de la réédition des œuvres (Allia, 2017) à l’inscription majeure mais singulière au sein du surréalisme belge (Xavier Canonne,…
Lamartine critique de Chateaubriand dans le Cours familier de littérature
À propos du livre (4e de couverture) Les historiens contemporains des lettres françaises de Belgique tiennent avec raison que La Légende d'Ulenspiegel en est le livre fondateur. Toute fondée qu'elle soit, cette assertion a tardé à prendre forte d'évidence. Lorsque Charles De Coster fait paraître sont livre, en 1867, seuls quelques lecteurs perspicaces y prêtent attention sans parvenir à lui assurer une quelconque reconnaissance. Et c'est aussi pauvre qu'inconnu que l'écrivain meurt en 1879. Il est vrai que «La Jeune Belgique», quinze ans plus tard, reconnaît son rôle, mais le statut de son livre n'en est en rien changé : il a peu de lecteurs, il n'est pas pris au sérieux. Tel n'est pas le cas du jeune Joseph Hanse dont l'Académie royale de langue et de littérature françaises s'empresse, dès 1928, de publier la thèse de doctorat consacrée à Charles De Coster et dont Raymond Trousson écrit aujourd'hui dans sa préface : «Ce coup d'essai était un coup de maître. Soixante-deux ans après sa publication, ce livre demeure fondamental, indispensable à quiconque entreprend d'aborder l'uvre magistrale qu'il mettait en pleine lumière.» Devenu introuvable, enfin réédité aujourd'hui, le Charles De Coster de Joseph Hanse, qui a ouvert la voie à toutes les études ultérieures et internationales sur le sujet, fera figure, pour beaucoup, d'une découverte et d'une…