Oraisons charnelles et autres prières des corps en sens inverse du ciel

RÉSUMÉ

Marcel Moreau explore le mot « absolu » dans tous les sens et à travers les regards les plus passionnés.

À PROPOS DE L'AUTEUR
Marcel Moreau

Auteur de Oraisons charnelles et autres prières des corps en sens inverse du ciel

Marcel Moreau est un écrivain belge de langue française né en 1933. Il perd son père à l'âge de quinze ans et arrête quelques temps plus tard ses études. Il pratique alors divers métiers pour subvenir à ses besoins. Il entre au journal Le Peuple comme aide comptable, puis, en 1955, devient correcteur au Soir à Bruxelles. Il correspond avec des écrivains comme Mauriac ou Camus et en 1959, il fait une rencontre majeure, celle de Nietzsche, qu’il appellera bientôt son « professeur ». En 1963, il publie son premier roman « Quintes ». Après la parution de celui-ci, il ne cesse d’écrire. Son travail est rythmé par de nombreux voyages : URSS, Inde, Cameroun, Chine, Iran, Népal, Canada, Mexique, États-Unis ,... Il reçoit le Prix Maeterlinck en 1994. Il décède avril en 2020, à Paris.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Oraisons charnelles et autres prières des corps en sens inverse du ciel"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9174 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Louis Scutenaire

Ecrivain belge d'expression française, L. Scutenaire était très lié avec les groupes surréalistes…

Le Souffleur inquiet

Ce volume rassemble des articles critiques et théoriques de Jean-Marie Piemme…

Les influences anglo-saxonnes sur les lettres françaises de 1850 à 1880

À propos du livre Cette étude voudrait retracer l'action générale des influences anglo-saxonnes sur nos Lettres françaises de Belgique, de 1850 à 1880. L'Angleterre victorienne resplendit alors; les États-Unis conquièrent leur rang, imposent leur génie ; notre littérature, elle, malgré Van Hasselt, de Coster, Pirmez, semble marquer à peine sur la carte du Réalisme international. Il semble même que des temps ingrats soient revenus pour l'art, après ces années de 1815 à 1850, dont M. Gustave Chartier, dans Le Mouvement romantique en Belgique, a entrepris de révéler tout l'intérêt, montrant le dynamisme des influences étrangères et, parmi elles, des anglo-saxonnes. C'est le destin de ces dernières que nous suivons au cours des trois décades qui nous séparent encore de la Jeune-Belgique. Nous tenterons de dire leur sens dans sa plénitude, tel que nous le démêlons de l'écheveau cosmopolite et comme nous l'a livré l'analyse d'une vie intellectuelle, où littérature, philosophie et politique…