Nouveau défi pour les Bionautes : sauver les baleines à bosse ! Les baleines à bosse sont des animaux protégés, pourtant un navire japonais, sous prétexte de les étudier, s’est posté au large de l’Antarctique. Son véritable objectif : les tuer et les vendre en boîtes de conserve !
Le capitaine Watson, un ami du professeur Groscerveau, est déjà en place pour tenter d’arrêter…
Auteur de Opération sauvetage (T.8). Le chant des baleines
Né le 27 août 1971 à Ransart
Docteur en Zoologie, ULg, Liège Brevet de plombier-chauffagiste, Nantes
Le monde est vaste, les champs d'écriture également. Les textes qui me tiennent le plus à coeur sont ceux teintés d'humanisme, c'est-à-dire le vivre ensemble et ce, autant des Hommes entre eux, que clui des Humains avec la nature. Lauréat d’une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide au projet, 2006 Lauréat du Prix Québec/Wallonie-Bruxelles, 2009Illustrateur de Opération sauvetage (T.8). Le chant des baleines
Réécriture en vers.(réécrit en vers) Renart le goupil a plus d'un tour dans son sac. Que ce soit pour faire bonne chère ou tout simplement pour se jouer des humains ou du loup Ysengrin, il nous prouve que la ruse l'emporte toujours sur la force brutale. De la mésange au lion en passant par l'hermine et le corbeau, tous les animaux de ces extraordinaires récits médiévaux constituent un miroir du monde humain qui nous montre, en les grossissant, nos défauts. Un recueil de récits des XIIe et XIIIe…
David vit avec ses parents au fond des bois, dans un chalet près d'un lac. Un jour, il trouve dans la maison des outils de bûcheron ayant appartenu à son grand-père et se lance dans l'activité, espérant impressionner son père, homme sévère qu'il craint particulièrement. Lors de ses sorties, il va rencontrer un chien-loup, que beaucoup d'humains n'apprécieront pas… Jean-Marie Defossez a une âme de poète, et, dans ce roman, la nature et les éléments prennent autant d'importance que les personnages, en des expressions qui bercent la lecture : « une après-midi où dansaient ensemble le vent et la pluie » (p. 16), « Le temps passa, doucement, comme l'oiseau bâtit son nid, branche par branche, jour après jour » (p. 81). Sur ce fond de douceur (notre apprenti bûcheron s'excuse auprès des arbres), se déploie une histoire relativement classique, celle d'un petit garçon hyper-sensible, qui trouve réconfort dans ses rêveries et auprès des animaux, en réaction à un monde adulte masculin qui le rebute. Le narrateur est centré sur les émotions, que ce soient celles de David ou de Miloup. Une nécessaire réconciliation entre tous s'opèrera, le père se rapprochant du fils, ainsi que de la mère. C'est plein de bons sentiments,…
Le Journal d'Alice (T. 5). La saison du citrobulles
Dans cette cinquième aventure, Alice nous raconte ses vacances d'été…