Opération sauvetage (T.8). Le chant des baleines

RÉSUMÉ

Nouveau défi pour les Bionautes : sauver les baleines à bosse ! Les baleines à bosse sont des animaux protégés, pourtant un navire japonais, sous prétexte de les étudier, s’est posté au large de l’Antarctique. Son véritable objectif : les tuer et les vendre en boîtes de conserve !

Le capitaine Watson, un ami du professeur Groscerveau, est déjà en place pour tenter d’arrêter…

   lire la suite sur   Ricochet
À PROPOS DES AUTEURS
Jean-Marie Defossez

Auteur de Opération sauvetage (T.8). Le chant des baleines

Né le 27 août 1971 à Ransart

Docteur en Zoologie, ULg, Liège Brevet de plombier-chauffagiste, Nantes

Le monde est vaste, les champs d'écriture également. Les textes qui me tiennent le plus à coeur sont ceux teintés d'humanisme, c'est-à-dire le vivre ensemble et ce, autant des Hommes entre eux, que clui des Humains avec la nature. Lauréat d’une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide au projet, 2006 Lauréat du Prix Québec/Wallonie-Bruxelles, 2009
Diane Le Feyer

Illustrateur de Opération sauvetage (T.8). Le chant des baleines


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Opération sauvetage (T.8). Le chant des baleines"
stdClass Object ( [audiences] => Array ( [0] => 16311 ) [domains] => Array ( [0] => 9548 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Les quatre saisons de Rose

Lorsque Rascal se met à l’écriture. On connaissait les albums, il faudra désormais aussi compter sur les romans de Rascal. Voici un texte intimiste, sorte de journal ou de souvenirs au parfum d’autrefois. Au fil des saisons, en de courts chapitres le lecteur découvrir la vie quotidienne de Rose, une petite citadine. A chaque saison, elle revient à la campagne, chez ses grands-parents. Ici, comme des petites notes personnelles, elle y contient ses sentiments, ses secrets ou ses premiers amours. On sent le vent, l’odeur des feuilles en automne, la pluie sur les carreaux du train. Car ce texte est tout empli de nostalgie, du temps qui passe et qui, malgré les souvenirs, ne sera jamais retrouvé. On retiendra particulièrement les deux premières saisons : l’été, où Rose prépare, avec sa grand-mère complice, un bel anniversaire à son grand-père (il n’a jamais pris l’avion) ; l’automne avec cette étrange promenade en compagnie de son grand-père et cette photo dans une de ses poches (Rose pense que c’est la sienne). Ces passages sont d’une très belle tendresse. On est moins convaincu par les deux derniers chapitres : l’escapade hivernale durant la nuit, l’épisode du train et les premiers émois amoureux. Il n ‘empêche que ce premier roman reste d’une belle tenue, renforcée par de belles aquarelles couleur sépia de Nathalie Novi (où l’on croise pelle mêle, le facteur de Tati, un regard dans un rétroviseur, une nature morte sur une nappe aux carrés rouges).…

Vidéo poisse

La mère de Raphaël et d’Anne-Laure vient de s’offrir un superbe caméscope. Tout va bien jusqu’à ce…

La clé de Jacqueline

Roman pour jeune lecteur autonome (dès 9 ans). Les parents de Marcus ont décidé de déménager, Marcus…