Neerpede

RÉSUMÉ

Un texte d’humeur sur le quartier de Neerpede, à Anderlecht, publié dans un volume collectif qui rassemble une dizaine d’écrivains belges ou français invités à écrire à partir d’un lieu.

   lire la suite sur   Bela
À PROPOS DE L'AUTEUR
Philippe Blasband

Auteur de Neerpede

Je suis né le 26 juillet 1964, à Téhéran. Ma mère est d’origine iranienne. Mon père est belge, d’origine juive polonaise et autrichienne. J’ai deux frères, un peu plus jeunes que moi. J’ai vécu deux ans en Angleterre, trois ans aux USA, cinq ans en Belgique, quatre ans en Iran. Depuis la révolution iranienne, en 1979, je vis en Belgique, à Bruxelles, à part un séjour de dix mois en Israël quand j’avais 18 ans. J’ai fait des études de montage cinéma, à l’INSAS. Depuis, j’écris. J’ai reçu quelques prix. On a traduit certaines de mes œuvres, entre autres en italien, en allemand, en chinois, en russe, en néerlandais. Je suis beaucoup beaucoup moins célèbre que Stephen King. Mais je parviens à vivre de l’écriture. J’ai écrit des scénarios de film (entre autres « une Liaison Pornographique », « le Tango des Rashevski », « la Femme de Gilles », « Thomas est amoureux »), des pièces de théâtre (entre autres « Les Mangeuses de Chocolat », « L’Invisible », « Le Village Oublié d’au-delà des Montagnes », « les Témoins », « Tuyauterie »), des romans (entre autres « De Cendres et de Fumée », « le Livre des Rabinovitch », « Johnny Bruxelles »). J’ai aussi mis en scène certaines des pièces que j’ai écrites et réalisé plusieurs films (entre autres « Un Honnête Commerçant » et « La Couleur des mots »). Je suis le mari de la comédienne Aylin Yay. Nous avons deux garçons, Théo et Elie. J’aime le thé vert, le chocolat, les riz iraniens, les bains.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Neerpede"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => )

Ceci pourrait également vous intéresser...

CHAMPS DE BATAILLE

Éric Derkenne a fait du visage le théâtre de ses précises opérations.Jour après jour cerné de lignes ombrageuses, le siège du combat se disloque en de sombres cavités. Les yeux, les oreilles, les narines, la bouche sont autant de gouffres que l'artiste sonde inlassablement et qui emportent celui qui les scrute dans des tourbillons vertigineux. Les têtes prennent corps et dans ce bataillon de figures totémiques, chaque soldat se distingue grâce à une infinité de détails graphiques.Parti d'un bigbang de formes colorées et isolées dans l'espace, Éric Derkenne a mis en place au fil des ans une méthode précise et immuable, un réseau de circonvolutions de cercles et de serpentins qui envahit la feuille blanche, donnant naissance à d'énigmatiques portraits. Tel une « dentellière du stylo à bille », il s'est abîmé avec application dans ce lent ouvrage de tissage, d'entrelacement de lignes, ceignant sa propre image, par maints assauts répétés. À l'identité qui défaille, Éric Derkenne a répondu…