Napoléon : De mal Empire ! (tome 1)


RÉSUMÉ

Début du XIXe siècle. Un petit homme au front et aux épaules larges s’apprête à changer le destin de la France et de l’Europe : Napoléon Bonaparte. Génie militaire au génie incompris, on le dit colérique, nerveux, sanguin, alors qu’il était en fait sanguin, nerveux et colérique. Des campagnes d’Égypte et de Russie à l’origine de sa fameuse main glissée dans sa veste, découvrez comme vous ne l’avez jamais vu Napoléon et son Empire. en pire. Le tout sur fond d’anecdotes totalement véridiques !


À PROPOS DES AUTEURS
Stédo
Illustrateur de Napoléon : De mal Empire ! (tome 1)
Né le 5 septembre 1978 à Libramont-Chevigny. Diplômé en 1999 de l'Institut supérieur des Beaux-Arts de St-Luc Liège, Stéphane Dauvin, alias Stédo, devient dessinateur professionnel de bande dessinée la même année. Thierry Tinlot, rédacteur en chef du journal de Spirou de l'époque, lui confiera la réalisation de diverses animations (strips, pages de bande dessinée, sommaires...) pour illustrer les pages du journal. Stédo assurera également les dessins d'un mini-feuilleton scénarisé par Fritax (alias Jean-Claude de la Royère) qui paraîtra chaque semaine dans le magazine («Le feuilleton des gens bons»). Parallèlement, il travaillera pour le magazine français Fluide Glacial dirigé par Jean-Christophe Delpierre, en publiant quelques épisodes de la série «Le Monde de Micheline» (avec Pascal Fioretto au scénario), de même que des jeux, des illustrations.... A la même période, Olivier Sulpice et sa maison d'édition française Bamboo publie son premier album «SOS Shobiz» avec Erroc (scénariste de la série «Les Profs»). Stédo reprendra, ensuite, le temps de trois albums, les aventures du «Garage Isidore» chez Dupuis (scénario de François Gilson). Il créera ensuite la série «Les Pompiers» avec son comparse Christophe Cazenove. En 2011, avec Hervé Richez, il publiera «Mafia Tuno», une série d'humour noir relatant la vie fictive d'une famille mafieuse. En avril 2016, Bamboo édition lancera le premier tome de Napoléon «De mal Empire» qu'il a réalisé avec Lapuss'. Il reprendra également en 2017 la série «Boulard» (spin-off des «Profs»). En 2018, contacté par les éditions Kennes, il réalisera la BD officielle des «Diables Rouges» pour la Coupe du Monde en Russie «L'épopée russe» en collaboration avec l'Union belge de Football.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Napoléon : De mal Empire ! (tome 1)"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9208 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Klimt

Vienne, 1907. Le peintre Gustav Klimt rend visite aux époux Bloch-Bauer. Ferdinand demande alors à Gustav de réaliser le portrait de sa femme, Adèle ; requête entraînant un flashback. Six ans auparavant, alors que Klimt essuyait des critiques acerbes au sujet de son œuvre La Médecine , il a rencontré ce couple, admirateur de son génie et dont la femme l’a prié de lui ouvrir les portes de son atelier. Au même moment, l’artiste recevait en rêve l’inspiration pour son prochain tableau. C’est par ce prisme que l’on entre dans l’univers de l’artiste : son atelier, ses modèles, sa mère, sa compagne, Émilie, mais aussi ses rêves, ses angoisses, ses sources d’inspiration en somme. L’histoire narrée en bande dessinée par Cornette et Marc-Renier est une tranche de vie, prétexte à l’évocation du peintre, de son style, de son époque et de l’avant-gardisme dont il y faisait preuve. L’idée est en effet plus de mettre en avant ses particularités que de réaliser sa biographie. Le récit est assez simple et aurait peu d’intérêt sans l’aspect « inspiré de faits réels », mais n’en est pas moins cohérent et bien rythmé.Les dessins sont soigneusement détaillés. Le rendu est classique, avec un crayonné assez fort accentuant les sujets principaux. Les travaux de Klimt évoqués sont réinterprétés plutôt que cités et le résultat est réussi et efficace : le redesign des œuvres permet une intégration fluide dans les cases tout en invitant à les découvrir sous un angle neuf.Le récit principal est suivi d’un court cahier didactique sur Gustav Klimt. Il complète la bande dessinée en développant quelques sujets qu’elle évoque. On y voit notamment des reproductions des œuvres évoquées dans l’album. Ainsi, le lecteur a à portée de main de quoi satisfaire sa curiosité, titillée par l’histoire racontée en images et phylactères.La bande dessinée Klimt est une introduction sympathique à l’œuvre de l’artiste. Les connaisseurs n’apprendront probablement pas grand-chose, là où les néophytes apprécieront l’accessibilité du propos et les informations proposées en fin d’ouvrage. Les visuels soignés plairont aux amateurs de bande dessinée traditionnelle, alors que l’histoire…