Les drogues étaient bien connues des Anciens ; les opiacés dans le monde gréco-romain, le cannabis chez le Vieux de la montagne dans le Caucase, la coca chez les Incas, les champignons hallucinogènes et le peyolt dans les régions méso-américaines, les hiérobotanes d’Occident, parfois véritables poisons.Leurs mythologies et leurs histoires embrassent des pans entiers du comportement humain découverts par le psychiatre. Depuis cinquante ans, grâce…
Auteur de Mythologies, histoires, actualités des drogues
Chef du service de neuropsychiatrie à l'AIOMS Arlon-Virton (1974-2004).
Président fondateur de l'A.S.B.L. "Centre de Télé-Accueil du Luxembourg" (depuis 1974).
Commandant-médecin de réserve (depuis 1978).
Expert judiciaire auprès du Tribunal de Première Instance d'Arlon et de Neufchâteau, et auprès de la Cour d'Appel de Liège.
Médecin protecteur (1968).
Consultant privé auprès du Gouvernement de Guinée Conakry (1983).
Consultant psychiatre pour l'Organisation Mondiale de la Santé pour l'Afrique (1984).
Expert clinicien en neuropsychiatrie auprès de la Santé Publique et la Sécurité Sociale de la République Française (Bulletin officiel du Ministère de la Santé du 19 septembre 1985).
Breafing de consultant au siège de l'O.M.S. à Brazzaville (1985).
Consultant OMS auprès de la République Populaire du Bénin (septembre-octobre 1985).
Représentant l'O.M.S. au 2ème Congrès de psychiatrie et de psychologie à Abidjan (octobre 1985).
Maître de stage en psychiatrie (1986).
Président de l'A.S.B.L "Initiatives d'Habitations Protégées du Sud-Luxembourg" (depuis 1988).
Neuropsychiatre.
Une revue catholique au tournant du siècle : Durendal 1894-1919
À propos du livre (texte de l'Introduction) Lorsqu'on parcourt une histoire de la littérature belge de langue française, le chapitre consacré à cette époque particulièrement florissante, qui va de 1880 à la première guerre mondiale, frappe par l'éclosion soudaine de revues littéraires qui suivirent l'exemple de la Jeune Belgique. Dans la liste de ces revues plus ou moins éphémères, l'attention est attirée par la longévité surprenante de l'une d'elles, Durendal, revue catholique d'art et de littérature . Ce mensuel catholique parut pendant vingt ans, de 1894 à 1914, alors que la Jeune Belgique ne sortit de presse que durant seize années et que la Wallonie disparut au bout de sept ans. Quelle recette a donc permis à Durendal de garder si long-temps ses lecteurs? Et une seconde question vient à l'esprit : à quoi pouvait bien s'intéresser une revue littéraire catholique à un moment où la littérature catholique semble inexistante? Qui a fondé Durendal ? Quels étaient ses objectifs? Autant de questions sur lesquelles bien peu de critiques ou d'historiens littéraires se sont penchés. En faut-il davantage pour désirer examiner avec un peu d'attention cette revue et la sortir de l'oubli, comme ce fut fait autrefois pour la Jeune Belgique et la Wallonie ? C'est ce que nous allons essayer de faire : rechercher les origines de la revue, découvrir son but, analyser la manière dont elle l'atteignit et les raisons qui la maintinrent en vie au-delà de la durée moyenne d'existence des revues littéraires belges. Ce travail ne se veut pas exhaustif: beaucoup d'aspects devront malheureusement rester ignorés, principalement certains problèmes plus particulièrement artistiques qui sortent de nos compétences par leur caractère trop technique. Nous ne proposerons pas non plus, dans chaque chapitre, un relevé détaillé de tous les articles parus dans Durendal et traitant du sujet mais seulement les extraits les plus significatifs. La présentation typographique de la revue, son illustration de plus en plus abondante et le sommaire de chaque numéro ne nous paraissent pas mériter de longs développements. Il suffit de savoir qu'en 1894 chaque numéro comptait vingt pages, tandis que ce nombre…
Une autre lecture du début de la Bible est possible à partir du texte hébreu original.…