Mystère en Belgique (volume 4) : L'étrange forain

RÉSUMÉ

Lisa et Luca partent en vacances à Ostende et toute la famille se réjouit de se retrouver à la mer pour un repos bien mérité. Mais c’était sans compter sur la présence d’un homme étrange qui semble les suivre partout où ils vont. Qui est-il? Que leur veut-il? Quand ils découvrent qu’il tient la maison des miroirs à la fête foraine et qu’il loue aussi le bungalow à côté de chez eux, le mystère semble encore plus s’épaissir…

À PROPOS DE L'AUTEUR
Salvatore Minni

Auteur de Mystère en Belgique (volume 4) : L'étrange forain

Salvatore Minni est né à Bruxelles où il vit toujours. Pendant son adolescence, il commence à mettre sur papier différents écrits (textes lyriques, nouvelles…) et se passionne pour la rhétorique à travers la richesse de la langue française. Il hésite longuement entre des études de psychologie ou de linguistique. Étant fasciné par les langues en général, il entreprend finalement des études de traduction avant d’exercer, entre autres, le métier de professeur de FLE qui lui permettra de transmettre sa passion à ses étudiants. Les idées fusent en grand nombre à travers ces années et ses expériences tant professionnelles que privées et son intérêt pour la psychologie humaine donneront finalement naissance à l'écriture d’histoires à multiples facettes... Ses deux premiers romans  Claustrations et Anamnèse en sont la preuve. Le succès est tout de suite au rendez-vous, car Claustrations a très bien été accueilli par les blogueurs et est vite devenu le coup de cœur de plusieurs librairies en Belgique, se hissant même à la première position des ventes de quelques-unes d’entre elles. Claustrations a remporté le « Prix Mot Passant », « Coup de Cœur 2019 du Jury du Prix du Balai » et a également été finaliste de deux autres prix littéraires: « Prix Découverte Mines Noires 2019 » et « Auteurs Inconnus 2018 ». En 2019, Salvatore revient avec Anamnèse, un second thriller psychologique publié chez Slatkine & Compagnie, finaliste du « Prix des lecteurs Club » et du « Prix découverte de Noir Charbon ». En 2022, Salvatore Minni se lance un défi, celui de faire frissonner vos enfants et publie les deux premiers tomes d’une nouvelle série de romans jeunesse intitulés Mystère en Belgique .

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Mystère en Belgique (volume 4) : L'étrange forain"
stdClass Object ( [audiences] => Array ( [0] => 16280 ) [domains] => Array ( [0] => 9930 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Vent d’hiver : Petites histoires pour réchauffer les jours froids

Quelle que soit sa rigueur, on le trouve toujours trop long, trop froid, trop déprimant. L’hiver suscite peu notre enthousiasme : on peste lorsqu’il s’installe et on ne le célèbre que quand il disparaît. On tente même de le chasser à coup de carnavals, de le mater à force de proverbes, c’est dire ! La neige et ses jolis flocons n’emportent pas notre adhésion non plus. Certes, on s’en réjoui durant une séance de luge, elle intrigue par son atmosphère magiquement ouatée, on la contemple bien au chaud  derrière une fenêtre, mais elle nous hérisse sous les pneus, nous désole en flaques boueuses, nous brûle par ses gerçures. Décidément, l’hiver est la mal aimée de nos saisons. Ce qui est assez injuste pour lui car «  [il] est comme tout le monde. / Il n’aime pas le froid. / Mais c’est son boulot, voilà. / À l’école, il voulait faire printemps, / mais c’est un métier plutôt rare  ». De plus, «  [d]es quatre saisons, l’hiver est celle qui raconte le plus d’histoires. / Ce sont les mois où on a envie de se serrer les uns contre les autres. C’est sans doute une explication  ». Cela paraît un prétexte parfait pour Carl Norac qui nous offre à envisager ce temps de ralentissement, de calme et de préparation, à la lorgnette d’historiettes amusantes, inattendues et poétiques. Dans Vent d’hiver , on croise notamment une maman aux joues goûts framboise et fraise, des Finlandais aux fesses bleues, un bonnet réceptacle de pensées, un skieur en habit d’ours, un bonhomme de neige affreusement maussade. Et le plus attachant d’entre tous ces personnages parfois farfelus est monsieur-madame (selon les pages) Hiver, un être solitaire, rêveur, résigné, facétieux et amusé : «  On dit que l’hiver est triste, mais on se trompe. Il rigole beaucoup. Par exemple, si vous allez près d’un étang gelé, souvent vous entendez un craquement. Craquement, c’est seulement quand l’hiver a trop envie de rire. Il craque de rire. Il s’éclate.  » Qui l’eût cru ? Comme de coutume, la prose, rêveusement décalée, tout à fait personnelle, de Norac chatouille l’esprit du lecteur, petit ou grand.La découverte de ce livre se niche sans doute dans les dessins de la Gantoise Gerda Dendooven. Le public francophone la connaît (peut-être) un peu moins, alors qu’elle est une mine admirable du paysage graphique flamand, en ébullition hallucinante. Le trait de Gerda souffle comme le vent hivernal : de façon saisissante, un peu piquante, brute. À l’aide d’une palette réduite (essentiellement, du bleu, du blanc, du rouge), elle crée un univers vif, un brin désuet (elle aurait pu illustrer La semaine de Suzette ou un almanach du début du 20e siècle), très évocateur tout en s’inscrivant en résonnance avec une tradition flamande affirmée (planent les ombres indistinctes des Breughel, des Permeke et autres Masereel). Quelle joie pour nous que le Poète national de Belgique / Dichter des Vaderlands multiplie ces collaborations sans-frontières ( Vent d’hiver est déjà le treizième de ses opus illustrés par un talent du Nord) ! À présent, nous avons le cœur à chanter : « Oh ! Vive le vent, vive le vent… » Samia Hammami Au travers de courts textes poétiques, tour à tour drôles ou oniriques, l'auteur raconte les aventures de personnages représentant des saisons autour du thème central de la période hivernale. Ce livre rassemble de petits textes poétiques, tour à tour drôles ou oniriques, sur l’hiver. Le mariage puis le divorce de Madame Hiver et de Monsieur Printemps, les péripéties d’un bonhomme de neige au mauvais caractère, un hiver peu pressé de laisser sa place, l’invention du rhume… autant d’aventures qui parlent de saisons, de neige, de froid… à se raconter au coin du feu ! Car comme le dit l‘auteur dans une de ses poésies : « Des quatre saisons, l’hiver est celle qui raconte le plus d’histoires ! » Feuilleter un extrait…

Pieter Bruegel l’Ancien

Un plongeon dans la vie et l’œuvre de Pieter Bruegel l'Ancien agrémenté…