Auteur et illustrateur de Mon petit crocodile
Jean-Luc Englebert nous revient avec cette histoire pour les plus jeunes lecteurs. S’occuper d’un bébé n’est pas de tout repos. C’est ce qu’apprend, à ses dépends, une petite fille surtout lorsque le bébé en question est un gentil petit crocodile. Il faudra le nourrir, construire un château de briques, lire un livre (sans la manger) et surtout le coucher. Sous la forme de vignettes,…
Cet album s’ouvre par un portrait de famille : moi ( Simon), deux sœurs, père, mère ; grand-père, grand-mère, deux tantes, deux oncles, quatre cousins cousines et le chien Fred. Pas à pas, page à page, l’un ou l’autre…
À quoi rêvent les crayons le soir, au fond des cartables ?
« Tous les enfants rêvent de devenir grands. Tous les crayons rêvent de devenir petits. » Le soir, dans le fond des cartables, les crayons rêvent. Mais à quoi ? Ils songent et écrivent des mots, des mots inventés ou des mots croisés. Ils s’imaginent en train de composer les couleurs de l’arc-en-ciel ou de rétrécir tant ils sont utilisés. Car finalement, c’est leur but ultime : laisser une trace et devenir des souvenirs. Cet album accessible est une véritable invitation à laisser voyager son imagination. Chaque page est bien dosée par le texte poétique de Zidrou et subtilement illustrée grâce au crayonné de David Merveille mélangé aux photographies de Françoise Robert. Ces trois artistes ont combiné avec talent les sonorités, les rythmes, les mots, les images, les sensations et les émotions. L’alchimie donne vie aux différents crayons représentés et à leurs aspirations. Tout naturellement, le lecteur prend le chemin des mots et les relit plusieurs fois, dans le but de s’imprégner encore plus. Il en demande, encore et encore ! À son tour de répondre à la question : « Au fond des cartables, à quoi rêvent ses propres crayons ? » (Nathalie Bouillot) Le soir, au fond des cartables, les crayons rêvent... Ils rêvent d'écrire des mots d'amour,…