Marius, le peintre, est un éléphant très poli. « Veuillez accepter mes plus plates excuses, dit-il à Dame Coccinelle qu’il a failli écrabouiller. Puis-je vous inviter à prendre une tasse de thé ? » C’est ainsi que leur amitié se noue. Milady Coccinelle chante des airs d’opéra à Marius et Marius peint Lady Coccinelle. Et lorsque Coccinelle est prise au piège d’une toile d’araignée et que Marius est saisi par la fièvre, leur dévouement n’a pas de limite.
Auteur de Milady Coccinelle
Né le 6 février 1967 à Bruxelles
Communication graphique, La Cambre, Bruxelles
Professeur d'illustration à La Cambre. Travaille pour la presse belge, française et américaine : The New Yorker, The New York Times, Time, etc ... Réalise des affiches pour le Musée de la Photographie de Charleroi (1989) et pour le Festival du dessin animé (1995). Illustrations sélectionnées par les revues The American Illustrations Annual, Print, 3X3 Mag, The Society of American Illustrators annual. Illustre pour Stéphane Hessel son "Point d'ironie" publié par Agnès B.. Expositions au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles dans le cadre de Jeunesse et Arts Plastiques, à la galerie Sans Titre et à la Maison de Marijke Schreurs. Collabore à "Khméropédies, I, II et III", chorégraphies de son épouse Emmanuèle Phuon. Lauréat d’une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide à la création, 2008, 2012, 2017 et 2020Son tableau (banane sur prairie) achevé, Marius le peintre rentre chez lui en sifflotant, quand tout à coup il aperçoit sous son pied une minuscule coccinelle affolée. Après s'être excusé, l'imposant pachyderme propose à Milady - c'est le nom de la rescapée - une bonne tasse de thé. Il apprend ainsi que son hôte est une diva d'opéra. La nuit suivante, Marius rêve de la bête à bon dieu…
Avec mon petit frère que j'aime
Laurence L.Afano signe une nouvelle série aux Editions du rocher avec un petit zèbre Zébulon qui nous présente titre après titre l'ensemble de sa famille. Ce titre se focalise sur Zénon, son petit frère avec qui il forme une sacrée paire. Ensemble, ces deux zèbres font plein de carabistouilles : cela va du saut dans les flaques au réveil en fanfare des parents le dimanche, les déguisements, une séance d'observation des fourmis, un échange de vélo jusqu’aux chaussettes qui deviennent des marionnettes. Une complicité évoquée et un univers enfantin tendre et pétillant…
Et si les dinosaures existaient encore !
Zoé et Léo se réjouissent‚ toute la famille va au musée voir les dinosaures. Les dinosaures‚ ça n’existe plus‚ ils ont disparu depuis très très longtemps. Et pourtant‚ toute la famille se met à rêver… Et si les dinosaures existaient encore ! Une succession de situations comiques‚ et une invitation à faire entrer la fantaisie et l'imagination dans la vie ! Un plus : retrouve sur chaque page les personnages et découvre leurs histoires dans l’histoire.Zoé et Léo se rendent aujourd’hui, accompagnés de leurs parents, au musée d’histoire naturelle. Médusés devant un squelette de dinosaure, les deux enfants se mettent soudain à rêver : « Et si les dinosaures existaient encore ? » Léo adorerait amener son dinosaure de compagnie à l’école pour le montrer à ses amis. Sa grande sœur jouerait avec lui à la poupée et l’affublerait de toutes sortes de vêtements ! La mère des deux enfants se servirait, quant à elle, du cou du dinosaure pour suspendre un hamac et leur père embaucherait l’animal comme jardinier… A feuilleter les double-pages de cet album à la fois tendre et drôle, à l’instar des membres de cette famille l’on se prend à rêver et à imaginer ce qu’on ferait avec un dinosaure à nos côtés. La fin du livre laisse donc la parole aux jeunes lecteurs et offre une infinité de possibles. Un album à partager en famille et entre amis ! Hélène Dargagnon…