Mieux vaut en pleurire


RÉSUMÉ

L’écriture de Timotéo Sergoï ne ressemble à aucune autre, sauf peut-être un peu à celle de Jean-Pierre Verheggen : même sens de l’inventivité, même gouaille, même énergie.
Mais l’essentiel chez Sergoï, c’est l’enchantement de sa voix. Un enchantement permanent. Humour, dérision, foisonnement d’images, tout est là pour le plus grand plaisir du lecteur.
Gourmandise des mots, léchés, recréés, tordus jusqu’au rire.
Et derrière cette exubérance, les réalités du monde, de la vie, de la mort, de la nature à l’agonie.
Tantôt en révolté, tantôt fataliste, le poète n’est jamais indifférent.

Sur le fil de l’écriture, le poète est funambule

Nous retenons notre souffle, enchantés, conquis et nous le suivons les yeux fermés… enfin, non, les yeux grands ouverts, et avec comme une autre joie dans la tête.


À PROPOS DE L'AUTEUR
Timoteo Sergoï (Stéphane Georis)
Auteur de Mieux vaut en pleurire
Arpenteur-Chansonnier, ou alors rampeur, marcheur, danseur. Mais ni nageur ni voleur. Ou encore : Enfant de cinquante ans et demi, plus poilu sur le menton que sur le crâne. On peut dire aussi : Corps sans profession précise, en partie constitué de viande pour chats. Poseur de bombes et de questions. Ou bien : Chercheur de mèches et de réponses, amoureux principal, exclusif et très jaloux de l’Univers entier. Comme quatre-vingt kilos de viande salie au thé noir qui a sans doute passé les trois cent mille kilomètres au compteur. Ou comme cent grammes de gâteau à la crème de barbe. Il se prend pour un médicament, se croit éperdument utile, sans savoir à quoi précisément. En attendant, il se tient debout dans le silence. Convaincu parfois d’être une table, un outil, un établi ou un marteau. Ou un crayon, peut-être. Mais pas une tronçonneuse. Et poète aussi, de temps en temps, comme tout le monde.

AVIS D'UTILISATEURS

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