Mes papas, l’ogre et moi


RÉSUMÉ

Le titre et l’illustration de couverture résument l’histoire : dans la vie d’une petite fille, qui vit heureuse avec ses deux papas, intervient un personnage probablement méchant. Cette histoire, Stanislas Cotton la raconte de manière joyeuse, ludique et un brin déjantée. Pour les deux papas – Florimond et Clovis – il s’agit tout d’abord de trancher la grave question du choix d’un prénom. Une fois ce prénom choisi – Pétronille – immédiatement remplacé par un diminutif bien plus…

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PRIX
  Grand prix des Arts du spectacle de l'Académie de langue et de littérature française de Belgique, 2020

À PROPOS DE L'AUTEUR
Stanislas Cotton
Auteur de Mes papas, l’ogre et moi

Formé au Conservatoire de Bruxelles, Stanislas Cotton a travaillé durant une quinzaine d'années comme comédien avant de se consacrer à l'écriture de nombreuses pièces de théâtre et de romans dont La moitié du jour, il fait nuit, finaliste du Prix des Cinq Continents. Après un long séjour à Rome, il vit maintenant à Budapest.



NOS EXPERTS EN PARLENT...
Le Carnet et les Instants

Clovis Patati et Florimond Tictac souhaitent adopter un enfant. Ils deviennent les parents d’une petite Pétronille que tout le monde finit par appeler Ninou. Ils aiment lui raconter les péripéties de son adoption : une véritable série en trois saisons. Ninou, à son tour, se plaît à commenter gentiment leurs conversations et à raconter leur rencontre dans un café.Ce n’était pas gagné d’avance. Entre les maladresses de l’un et le ton direct de l’autre, ils parviennent toutefois à trouver un terrain d’entente : la littérature. Une petite blague finira de rompre la glace et de les lier à tout jamais. Peu de temps après, ils emménagent ensemble et se créent un beau petit nid d’amour. On assiste à leurs petites discussions quotidiennes…


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Tom

Tom est sur le point de devenir père. Toutes les vies ne démarrent pas sur les chapeaux de roues. Certaines vies débutent même carrément mal. Et Tom est bien placé pour le savoir. Flash-back. Tom a sept ans. Il ne vit pas avec ses parents. Sa mère présente une accoutumance à l’alcool. Son père, il ne l’a jamais connu. Après avoir été placé un long moment en institution, il arrive dans une famille d’accueil. Catherine et Bertrand font leur possible pour recevoir cet enfant comme si c’était le leur. Leur fils, Achille, a plein de questions qui lui brûlent les lèvres. Pourquoi dit-on de Tom que c’est un enfant du juge ? Elle était comment sa chambre dans son foyer ? Pourquoi il se tait autant ? Et ses parents, que font-ils, où sont-ils ? La nouvelle cohabitation se passe tant bien que mal, entre les deux nouveaux frères qui doivent chacun faire des concessions pour faire une place à l’autre, et Catherine et Bertrand qui sont, de leur côté, confrontés à l’inconnu. Comment être certain que Tom se sente bien ? Catherine tente de rester positive, coûte que coûte. Elle doit également prendre en charge les visites chez la mère de Tom, visites qui provoquent bien souvent des périodes où le jeune garçon se renferme encore plus. Les jours passent avec leur ribambelle de douceurs et leur cortège de malheurs : un volcan écrasé, de la purée de topinambours, la tête contre le mur, des modes d’emploi inutiles, des colères, la fête des mères, des disputes, des témoins de Jéhovah, une visite inattendue, une fugue, un tram, le vertige… Tom trouvera-t-il sa place dans cette nouvelle famille ? Retournera-t-il auprès de sa mère ? À l’âge adulte, va-t-il reproduire le même schéma familial ? Aura-t-il le cran nécessaire pour assumer ses responsabilités de père ?À travers ce texte adressé au jeune public, Stéphanie Mangez, qui a déjà signé à ce jour une dizaine de pièces, met en avant une réalité présente partout dans le monde. De nombreux enfants, comme Tom, doivent grandir éloignés de leur famille, pour des raisons de sécurité ou de bien-être. Parfois pour un temps court, parfois toute leur enfance et adolescence. Le plus souvent, ces familles d’accueil font partie de la famille élargie de l’enfant. Puis, il y a des pères et des mères qui, tels que Catherine et Bertrand, n’ont aucun lien biologique avec l’enfant mais se proposent de l’accompagner le temps nécessaire sur son chemin pour grandir.Avec des mots tout simples et des situations courantes, Stéphanie Mangez nous plonge dans le quotidien de l’une de ces familles d’accueil. On vit au plus près les craintes, les troubles, mais aussi les joies des uns et des autres. Tom , publié aux Éditions Lansman, est joliment illustré par des dessins de Fabienne Loodts, témoins de la solitude, des angoisses et des espoirs des différents personnages. Émilie Gäbele "La vie, ça ne démarre pas toujours sur les chapeaux de roues d'une grosse cylindrée et il vaut mieux le savoir tout de suite." Tom, au moment de devenir père, ne peut oublier cette phrase : il est bien placé pour savoir combien la vie peut être difficile quand on n'a pas la chance de passer son enfance dans une famille unie. Après avoir été placé en institution dès sa naissance, il débarque dans une famille d'accueil. Achille, son nouveau frère, le bombarde de questions sur son passé. Les parents multiplient les tentatives touchantes et maladroites pour comprendre ce garçon taiseux et établir une communication... Tom, tiraillé entre ces différentes réalités, sera contraint d'affronter son passé pour pouvoir avancer.…

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