La voiture de police banalisée se gare prudemment le long d’une haie, les pneus crissent sur le gravier. La nuit commence seulement à basculer vers le petit jour.
L’inspecteur Damien Bodart, dénommé l’ « ours » par ses collègues, sort de l’habitacle et lance un coup d’œil sur la maison. L’assassinat d’un journaliste est forcément appelé à faire la une le lendemain. L’agacement du policier est perceptible. Il griffonne encore quelques mots sur son bloc-notes.
Au fil de l’enquête menée par l’ « ours » et son équipe, apparaissent meurtres, cas de corruption et l’ombre de la mafia. Mais contrairement à celles des félins, les griffes de l’ « ours » ne sont pas rétractiles…
Auteur de Mécanique du journalisme
À l’abbaye d’Orval, quelques 26664 bouteilles (soit 1111 casiers) de bière, à peine…