RÉSUMÉ

Depuis ce jour où Max a perdu la vision des couleurs, il roule droit devant lui. Il perd petit à petit la mémoire, le sens de l’espace et du temps, et se persuade que ses yeux sont les premiers agents d’une mystérieuse conspiration vouée à sa perte.
Dans sa course folle, Max ne souhaite rien que d’avancer un peu plus loin, sans autre but que de survivre plus longtemps et d’échapper à la conspiration qu’il croit lancée à ses trousses.
Qu’est-ce qui pousse Max à fuir toute sa…

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À PROPOS DE L'AUTEUR
Julien Oeuillet
Auteur de Max

Julien Oeuillet vit à Bruxelles. Son premier roman, Revolution Motel, a reçu un accueil critique favorable en Belgique et une nomination au Prix Senghor. C'est un auteur postmoderne avec une influence trouvée chez des auteurs anglophones tels que V. Nabokov, Mervyn Peake, Peter Currell Brown, P.K. Dick, Thomas Pynchon, J.M. Coetzee, etc.

 Julien Oeuillet travaille pour la RTBF, la télévision belge de service public, pour laquelle il réalise des films documentaires. Il donne également des cours sur l'histoire et la société belge à l'ESJ. Il a travaillé en radio et en investigation pour la presse spécialisée. A ce titre, il a effectué des recherches historiques qui ont nourri son imaginaire d'auteur.
 
Bilingue anglais-français, il a évolué en permanence entre les deux sphères linguistiques et défend la possibilité d'un riche apport anglophone dans la littérature de langue française. Il a sillonné le continent européen et développé des liens particulièrement forts entre les anciens blocs Est et Ouest, et il revendique une identité européenne globale.
 
Il a pour passion l'architecture, l'héraldique, la vie bruxelloise, les vieilles cartes géographiques, et la littérature anglophone. Il y a quelques années, à la suite d'une commotion cérébrale, sa vision des couleurs a été perturbée pendant deux ans, s'ajoutant à des problèmes de vue antérieurs - cette expérience lui a inspiré une partie de Max, son deuxième roman. Le reste de son inspiration est à trouver dans la musique rock seventies (en particulier Peter Hammill ou Kate Bush), et dans tout ce qui touche la déraison, la confusion du réel et de la fiction, l'architecture de la personnalité et le besoin intarissable d'être vraiment libre.

AVIS D'UTILISATEURS

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