Matteo Ricci - Dans la cité interdite


RÉSUMÉ

Pékin, début du XVIIe siècle.Le père Matteo Ricci, un jésuite italien, est tombé amoureux de la Chine. On le surnomme d’ailleurs « le Lettré du lointain Occident ».Depuis dix-huit ans, il parcourt ce pays afin de servir Dieu. Respectueux des coutumes et des religions qui ne sont pas les siennes, il poursuit un rêve : rencontrer l’Empereur en personne.Mais la route est longue et semée de dangers jusqu’à la Cité interdite, la demeure du Fils du Ciel… Les complots, les intrigues de palais, les jalousies et les violences sont autant d’obstacles qui se dressent sur son chemin. Sans compter le rôle trouble de Don Herrera, un membre de la Sainte Inquisition, qui ne cherche qu’à convertir les « sauvages » que sont, à ses yeux, les Chinois.Jean Dufaux et Martin Jamar, dont le graphisme réaliste et sensuel plonge le lecteur au coeur du récit, redonnent vie à un personnage historique adepte de tolérance, d’ouverture à la différence et du dialogue entre les civilisations. Autant de convictions qui prennent tout leur sens dans notre société fracturée d’aujourd’hui…


À PROPOS DE L'AUTEUR
Martin Jamar
Illustrateur de Matteo Ricci - Dans la cité interdite
Martin JAMAR est né en Belgique, à Liège en 1959. Dès son plus jeune âge il commence à dessiner jusqu'à faire des caricatures de ses professeurs au collège, lycée et aussi durant son service. Après une licence en droit, il se lance dans la bande dessinée en parfait autodidacte.

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Klimt

Vienne, 1907. Le peintre Gustav Klimt rend visite aux époux Bloch-Bauer. Ferdinand demande alors à Gustav de réaliser le portrait de sa femme, Adèle ; requête entraînant un flashback. Six ans auparavant, alors que Klimt essuyait des critiques acerbes au sujet de son œuvre La Médecine , il a rencontré ce couple, admirateur de son génie et dont la femme l’a prié de lui ouvrir les portes de son atelier. Au même moment, l’artiste recevait en rêve l’inspiration pour son prochain tableau. C’est par ce prisme que l’on entre dans l’univers de l’artiste : son atelier, ses modèles, sa mère, sa compagne, Émilie, mais aussi ses rêves, ses angoisses, ses sources d’inspiration en somme. L’histoire narrée en bande dessinée par Cornette et Marc-Renier est une tranche de vie, prétexte à l’évocation du peintre, de son style, de son époque et de l’avant-gardisme dont il y faisait preuve. L’idée est en effet plus de mettre en avant ses particularités que de réaliser sa biographie. Le récit est assez simple et aurait peu d’intérêt sans l’aspect « inspiré de faits réels », mais n’en est pas moins cohérent et bien rythmé.Les dessins sont soigneusement détaillés. Le rendu est classique, avec un crayonné assez fort accentuant les sujets principaux. Les travaux de Klimt évoqués sont réinterprétés plutôt que cités et le résultat est réussi et efficace : le redesign des œuvres permet une intégration fluide dans les cases tout en invitant à les découvrir sous un angle neuf.Le récit principal est suivi d’un court cahier didactique sur Gustav Klimt. Il complète la bande dessinée en développant quelques sujets qu’elle évoque. On y voit notamment des reproductions des œuvres évoquées dans l’album. Ainsi, le lecteur a à portée de main de quoi satisfaire sa curiosité, titillée par l’histoire racontée en images et phylactères.La bande dessinée Klimt est une introduction sympathique à l’œuvre de l’artiste. Les connaisseurs n’apprendront probablement pas grand-chose, là où les néophytes apprécieront l’accessibilité du propos et les informations proposées en fin d’ouvrage. Les visuels soignés plairont aux amateurs de bande dessinée traditionnelle, alors que l’histoire…

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