« Suite à une négligence humaine, la planète subit des dommages irréversibles au niveau écologique et en termes d’organisation de la société. Maxi-Jack devient alors Mad Maxi-Jack : un aventurier intrépide qui n’est pas du genre à se lamenter sur son sort en subissant les évènements. »
Go Mad Maxi-Jack. Tu dois te battre pour trouver un nouvel équilibre dans ton existence.
— Allez en page 2. »
Mad Maxi-Jack doit comprendre cette ère nouvelle, combattre des vers géants lubriques ou le terrible Kraken d’eau douce, choisir entre nomadisme et sédentarité, esclavage ou prostitution, un lance-flamme ou un peu d’eau…
Réfléchis bien lecteur, car si tu peux lire mille fois Mad Maxi-Jack, le héros joue sa vie à chaque page. Tes décisions lui occasionneront souffrances, rencontres légendaires ou plaisirs charnels inattendus. Tu ne liras pas, tu trébucheras, te feras mal et y prendras goût. Comme autrefois jeux vidéos à dialogues et livres dont vous êtes le héros, le labyrinthe de Beck est une perpétuelle surprise, peuplée d’algues tueuses, de golems cherchant ménage, de raptors connectés… De chef d’oeuvres antiques en nanars rocambolesques, ce serious game puise dans l’insondable imaginaire de l’Apocalypse, et nous fait réfléchir en stratèges parmi plus de cent fins possibles, délirantes ou atroces. Victoire ultime : atteindre la page 419, plus heureuse des issues où Jack savoure une brise radioactive et son épanouissement post-apocalyptique. Voilà le crépuscule de notre monde. Go Maxi Jack, go!
Auteur de Mad Maxi-Jack : les chemins de la rédemption