Macadam circus
D’un côté, un homme, une femme, un enfant ; de l’autre, un père, une mère, un fils. Deux familles, deux situations, un point commun, l’arrivée inattendue d’un élément perturbateur qui bouscule tout : un éléphant d’une part, un moustique de l’autre. Et voilà que le quotidien se décompose, se délite, se perd en interrogations : Qu’est-ce que je suis et qu’est-ce que je transmets ? Faut-il être celui qui mange ou celui qui est mangé ? Tout autour, il y a la ville, le monde qui ne cesse d’opposer sa logique absurde à ce qui pourrait être l’unique nécessité de tout un chacun : partager.
Qui dort dîne (ou presque) –
D’un côté, un homme, une femme, un enfant ; de l’autre, un père, une mère, un fils. Deux familles, deux situations, un point commun, l’arrivée inattendue d’un élément perturbateur qui bouscule tout : un éléphant d’une part, un moustique de l’autre. Et voilà que le quotidien se décompose, se délite, se perd en interrogations : Qu’est-ce que je suis et qu’est-ce que je transmets ? Faut-il être celui qui mange ou celui qui est mangé ? Tout autour, il y a la ville, le monde qui ne cesse d’opposer sa logique absurde à ce qui pourrait être l’unique nécessité de tout un chacun : partager.
Auteur de Macadam circus suivi de Qui dort dîne (ou presque)
Dans ce recueil des éditions Lansman abritant les pièces Macadam Circus et Qui dîne dort (ou presque), Thomas Depryck livre une parabole acide et surréaliste de la condition humaine dans les sociétés capitalistes. Où êtres humains et animaux jouent tour à tour les rôles de sauveur et de sauvé/à-sauver.Sous la plume de Thomas Depryck, l’écriture s’apparente à un sport de combat. Écrire ? Affronter le réel, s’en défendre, l’attaquer, le repousser, s’y accrocher. Comme une matière radioactive que l’on sculpte, en même temps qu’elle nous façonne aussi. On se focalisera ici sur la première et principale pièce, Macadam Circus, en raison de ses abondantes convergences avec la seconde.…