L’ornement des mois


RÉSUMÉ

Dans l’imposante bibliographie de Maurice des Ombiaux, L’ornement des mois tint une place à part : c’est le livre qu’il consacra au calendrier grégorien et aux « jours de sort » ou jours de l’année dévolus en Belgique, en particulier en Wallonie, à des fêtes traditionnelles. Mais L’ornement des mois constitue aussi – et peut-être surtout – une œuvre sentimentale qui trahit les goûts, dilections et plaisirs de l’auteur, une composition qui dévoile le Maurice des Ombiaux gastronome et œnophile.





NOS EXPERTS EN PARLENT...
Le Carnet et les Instants

De janvier (« C’est l’enfance de l’année ») à décembre (« le jour est pauvre de lumière, mais on l’illumine de feux et de liesses »), Maurice des Ombiaux compose, avec un plaisir qui fait chanter les mots, L’ornement des mois. Un « almanach sentimental et gourmand », comme le présente dans sa préface Jean-Baptiste Baronian, paru en 1910, et que l’Académie royale de Langue et de Littérature a eu l’heureuse idée de ressusciter.Processions solennelles, tels l’Ommegang ou la procession de Furnes, le dernier dimanche de juillet, quelquefois aussi drolatiques, légendes vivaces, cortèges bariolés, fêtes traditionnelles remontant parfois au Moyen Âge, l’auteur les décrit allégrement…


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:ornement des mois ornement - "L’ornement des mois"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9174 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

La genèse de Meurtres de Charles Plisnier

À propos du livre (extrait de l'introduction) En…