Dans son nouveau livre, L’ombre portée, paru en janvier dernier chez Jean-Claude Lattès, Bernard Tirtiaux s’inscrit dans l’histoire de sa famille paternelle, comme héritier du domaine de Martinrou qu’il a racheté et patiemment autant qu’obstinément rebâti, reconverti. On y trouve toute la trame de sa vie de bâtisseur, d’artisan, d’écrivain et d’homme de théâtre. Au fil des pages, l’auteur se raconte dans la lignée de son grand-père et de son père, qui ont en quelque sorte préfiguré les grandes options de sa vie, en construisant l’un une chapelle en 1938, là où le jeune Bernard posera ses premiers vitraux en 1968 et ensuite une rosace en lames de verre en 1998, l’autre une nouvelle laiterie pour la ferme, qui deviendra…
Sur fond d'enquête policière, suite au vol d'une statuette égyptienne dans le musée de Mariemont, une histoire d'amour qui tente de sortir des mailles d'une querelle familiale…
Le narrateur, Lejeune, est sorti sans éclat d'une école de beaux-arts…
"Paul Corneille avait quarante ans, on lui en donnait cinquante, et cependant…