L'invention du jeu

À PROPOS DE L'AUTEUR
Pascal Lemaître

Auteur et illustrateur de L'invention du jeu

Né le 6 février 1967 à Bruxelles

Communication graphique, La Cambre, Bruxelles

Professeur d'illustration à La Cambre. Travaille pour la presse belge, française et américaine : The New Yorker, The New York Times, Time, etc ... Réalise des affiches pour le Musée de la Photographie de Charleroi (1989) et pour le Festival du dessin animé (1995). Illustrations sélectionnées par les revues The American Illustrations Annual, Print, 3X3 Mag, The Society of American Illustrators annual. Illustre pour Stéphane Hessel son "Point d'ironie" publié par Agnès B.. Expositions au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles dans le cadre de Jeunesse et Arts Plastiques, à la galerie Sans Titre et à la Maison de Marijke Schreurs. Collabore à "Khméropédies, I, II et III", chorégraphies de son épouse Emmanuèle Phuon. Lauréat d’une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide à la création, 2008, 2012, 2017 et 2020
NOS EXPERTS EN PARLENT...
ricochet

Un ballon dans un pré. Un escargot l'escalade, un chat s'approche. Puis une mouche se mêle de la discussion. Que croyez-vous qu'il arrive ensuite ?
C'est le premier roman pour la jeunesse de François Bégaudeau, grand amoureux de football. Sans densité narrative particulière – mais ce n'est pas son intérêt -, l'histoire dure un après-midi, construite par l'arrivée successive de protagonistes.…


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "L'invention du jeu"
stdClass Object ( [audiences] => Array ( [0] => 16311 ) [domains] => Array ( [0] => 9548 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Plus fort que la hyène

Savez-vous ce qu’est un inanga  ? Ce mot aux syllabes bondissantes désigne…

Les quatre saisons de Rose

Lorsque Rascal se met à l’écriture. On connaissait les albums, il faudra désormais aussi compter sur les romans de Rascal. Voici un texte intimiste, sorte de journal ou de souvenirs au parfum d’autrefois. Au fil des saisons, en de courts chapitres le lecteur découvrir la vie quotidienne de Rose, une petite citadine. A chaque saison, elle revient à la campagne, chez ses grands-parents. Ici, comme des petites notes personnelles, elle y contient ses sentiments, ses secrets ou ses premiers amours. On sent le vent, l’odeur des feuilles en automne, la pluie sur les carreaux du train. Car ce texte est tout empli de nostalgie, du temps qui passe et qui, malgré les souvenirs, ne sera jamais retrouvé. On retiendra particulièrement les deux premières saisons : l’été, où Rose prépare, avec sa grand-mère complice, un bel anniversaire à son grand-père (il n’a jamais pris l’avion) ; l’automne avec cette étrange promenade en compagnie de son grand-père et cette photo dans une de ses poches (Rose pense que c’est la sienne). Ces passages sont d’une très belle tendresse. On est moins convaincu par les deux derniers chapitres : l’escapade hivernale durant la nuit, l’épisode du train et les premiers émois amoureux. Il n ‘empêche que ce premier roman reste d’une belle tenue, renforcée par de belles aquarelles couleur sépia de Nathalie Novi (où l’on croise pelle mêle, le facteur de Tati, un regard dans un rétroviseur, une nature morte sur une nappe aux carrés rouges).…

Opération sauvetage (T.7). Alerte : loutre blessée !

C'est la panique au QG du professeur Groscerveau ! Son ami, le professeur Libois, a recueilli une maman loutre percutée par une voiture, et il doit la soigner. Or, en attendant qu'elle guérisse,…