Autrice de L'homme au parapluie
Née le 25 avril 1961 à Bruxelles
Théâtre, IAD, Louvain-la-Neuve Licencie en Psychologie, UCL, Louvain-la-Neuve
Une page ou un écran blanc. Ça dépend… Le clavier m’est devenu presque plus habituel que le stylo. Des mots qui se bousculent pour être écrits. Beaucoup de silence. Et du plaisir. Parfois encore la peur d’être entrainée là où je ne veux pas. Où il est plus pénible d’écrire. Mais je sais maintenant que, si j’évite l’écriture, c’est pour mieux la murir et que, quand je serai prête, il me suffira de laisser mes doigts libres. Et puis, toujours des lectures et des relectures à voix haute. Je corrige. Beaucoup. Jusqu’à ce que le texte soit entier, prêt à être partagé. Avec ma fille d’abord, avec quelques amis ensuite. Avec des éditeurs. Enfin, par vous, je l’espère… Des romans par-ci, des albums par-là, quelques poèmes et adaptations… Depuis 2002, je publie en Belgique, France, Suisse et au Canada, autant pour les enfants que pour les adolescents. Lauréate d'une bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide au projet, 2006 et 2008Mon corps, ce lieu de poésie témoin d’expérimentation criminelle
« Le 1 er avril 2020, une journaliste avait réagi à la lettre indignée que j’avais adressée à la Première Ministre belge du gouvernement de transition, Sophie Wilmès, face au scandale Proximus : alors que le peuple belge est confiné depuis le 13 mars en raison de la pandémie de Coronavirus, les médias révèlent que la compagnie de téléphonie belge s’apprête à déployer parcimonieusement la 5G sur l’ensemble du territoire. Vingt-sept communes en Flandre, vingt-six en Wallonie feraient l’objet de zones tests. Les responsables communaux et les citoyens avaient-ils été consultés ? Bien sûr que non ! » Ancrant son témoignage dans les bavures d’un geste politique indécent, l’auteure interroge la fuite en avant technologique et ultralibérale des sociétés numériques fondées sur des impératifs matérialistes et économiques au détriment de l’intégrité de la biosphère et de l’humanité. Illustration de couverture : Théo Bouvier Chanquia « Le 1 er avril 2020, une journaliste avait réagi à la lettre indignée que j’avais adressée à la Première ministre belge du gouvernement de transition, Sophie Wilmès, face au scandale Proximus : alors que le peuple belge est confiné depuis le 13 mars en raison de la pandémie de Coronavirus, les médias révèlent que la compagnie de téléphonie belge s’apprête à déployer parcimonieusement la 5G sur l’ensemble du territoire. Vingt-sept communes en Flandre, vingt-six en Wallonie feraient l’objet de zones tests. Les responsables communaux et les citoyens avaient-ils été consultés ? Bien sûr que non ! » Ancrant son témoignage dans les bavures d’un geste politique indécent, l’auteure, électrosensible, interroge la fuite en avant technologique et ultralibérale des sociétés numériques fondées sur des impératifs matérialistes et économiques au détriment de l’intégrité de la biosphère et de l’humanité. ÉCOUTER UN EXTRAIT : SonaLitté · Caroline Bouchoms - Mon corps, ce lieu de poésie…
"- ... Pour le bonheur, qu'est-ce que vous comptez faire ? Dieu a gardé le silence…